1. La bourgeoise et le marabout (3)


    Datte: 06/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... souriant, il me dit « Mon ami monsieur Coulibadou m’a prévenu de votre visite et m’a donné quelques indications complémentaires pour vous fournir ce qu’il faut. Veuillez, je vous prie, entrer dans la cabine d’essayage et vous déshabiller. » Je suis un peu surprise mais je m’exécute pourtant puisque ce monsieur semble suivre les indications de mon marabout en qui j’ai confiance. La cabine d’essayage est plutôt grande avec deux grands miroirs face à face et un fauteuil à droite. Le côté en face du rideau est quant à lui paré de patères où j’accroche mon parapluie et mon imperméable. Oui, il pleut sur Paris et je suis donc habillée pour. Je suis en soutien-gorge et petite culotte lorsque monsieur Robert revient et pénètre dans la cabine sans aucune gêne. « Vous pouvez retirer vos dessous et enfiler ceux-ci » me dit-il en s’asseyant dans le fauteuil après m’avoir tendu ce qu’il tenait en main. Tandis qu’il me regarde avec convoitise, je retire mon haut et j’enfile à la place un soutien-gorge demi balcons qui redresse mes seins mais sans rien cacher. Puis, une fois ma culotte retirée, je mets le petit string rouge qui s’avère complètement fendu devant, laissant ainsi apparaître ma toison pubienne. Monsieur Robert se lève, se saisit des dessous que je portais en arrivant et me dit « Voilà, cela correspond tout à fait aux souhaits de monsieur Coulibadou. Vous pouvez maintenant vous rhabiller et aller à votre consultation ». Puis il quitte la cabine emportant avec lui mon ancienne ...
    ... lingerie. Une fois rhabillée, je me dirige vers la caisse où m’attend le gérant et je lui règle mes achats, même si je n’ai nullement choisi ce que je dois payer.
    
    Dans la rue, mes nouveaux dessous me font une drôle d’impression, c’est presque comme si je n’en portais pas. Le tissu de ma veste de tailleur frotte sur mes tétons et cela a vite un effet des plus excitants. Sous ma jupe, le léger courant d’air me caresse les cuisses et fait frissonner les poils de ma chatte. Tandis que je remonte le boulevard pour me rendre à ma consultation, je regarde les vitrines d’un œil neuf et je me dis qu’il n’y a finalement pas de honte à porter de tels dessous. Cela permet aux femmes de mettre leur corps en valeur et c’est très agréable à porter. Au fond de moi, je suis certaine que mon mari souhaite me voir dans de telles tenues. A maintes reprises, il m’a déclaré recevoir par internet des publicités de lingerie sexy et m’a toujours dit que je devrais essayer au moins une fois. Comme la quasi majorité des hommes, il doit sans nul doute fantasmer sur les femmes habillées de dessous dignes des films érotiques. Je lui ai toujours répondu que ce n’était pas de mon âge et que cela faisait vraiment vulgaire. Il m’a toujours rétorqué que j’étais une bourgeoise coincée, une vraie grenouille de bénitier. C’est en pensant à tout cela que j’arrive devant l’immeuble de monsieur Coulibadou et monte les escaliers qui me conduisent à son cabinet que je commence à bien connaître.
    
    Le cabinet est ...
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