1. Hors d'oeuvre - L'art d'appâter des femmes


    Datte: 06/08/2019, Catégories: fh, ffh, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme intermast, Oral occasion, Auteur: Veilleur, Source: Revebebe

    ... exubérante.
    
    Aimé et moi, voyeurs ignorés, finissons par trouver ce plaisant spectacle tout à fait naturel. Nos femmes sont belles et vont faire carrière, car elles ne sont pas farouches. Grégoire a bien choisi, c’est un pro. Dans le fond c’est en retour une preuve de notre bon goût.
    
    Nous admirons le savoir-faire de ce gaillard qui peut se permettre des gestes osés, qui sait mettre à profit le moindre détail pour se donner l’occasion d’intervenir, quitte à inventer des défauts, mais qui, centimètre carré après centimètre carré, explore hardiment la qualité de la peau, éprouve la tonicité des muscles et réussit régulièrement à laisser traîner un doigt ou une main sur les parties les plus intimes des postulantes à un emploi. Les deux femmes sont cependant ennuyées par l’obligation de choisir parmi ces merveilles le cadeau promis. Trop de belles choses ! Elles sont penchées sur l’étalage des pièces de lingerie dispersées sur la table, discutent, examinent.
    
    Grégoire derrière elles, flatte un dos, pose la main sur une épaule, masse délicatement une croupe, fait courir des frissons et donne son avis. Il prend rapidement quelques photos dans les poses les plus curieuses avec le constant souci de montrer, sans dénuder, les détails anatomiques qui capteront l’œil. À genoux, debout, accroupies, penchées en avant fesses saillantes ou penchées en arrière pubis provocant, seules ou en couple lesbien : elles sont malléables, souples et d’humeur étonnamment égale. Ici il faut ...
    ... laisser paraître la fraise d’un téton qui déborde, là les filles se mettent une main pour une caresse réciproque sur un sein, mais aussi sur la partie étroite de la petite culotte. Tout est bon pour plaire à Grégoire. De l’audace, réclame-t-il. Et les poses sont de plus en plus suggestives. De l’attitude innocente, on passe progressivement à des gestes lascifs, à des attouchements osés entre filles. Ce type sait les échauffer sans alerter leurs défenses et sans effrayer leur pudeur. Ça va crescendo, elles s’en amusent surtout.
    
    Il aimerait leur montrer le contenu des autres valisettes. Beaucoup de femmes décomplexées réclament ce que cachent les mallettes. Mais il craint, l’hypocrite, d’effaroucher des jeunes femmes si bien élevées. Ses réticences attisent leur curiosité, elles protestent, elles se disent capables de tout voir sans se scandaliser comme il le craint à tort. Elles finissent par obtenir gain de cause. Il ouvre : sa valisette est un sex-shop ! Grégoire exhibe, commente, précise le mode d’emploi, compare les avantages et inconvénients des « toys », montre les doux et les rugueux, les droits et les courbés, les vibrants et les articulés. Il donne à toucher, persuade :
    
    — À l’heure actuelle, chaque femme possède en moyenne deux jouets au moins. Depuis 1968, les mœurs sont plus libres. Qu’un mari ou un amant s’absente ou néglige sa compagne, celle-ci a sous la main, dans sa table de chevet, le substitut capable de lui donner du plaisir, aussi bien, sinon mieux que ...
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