Hors d'oeuvre - L'art d'appâter des femmes
Datte: 06/08/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
occasion,
Auteur: Veilleur, Source: Revebebe
... elles font demi-tour pour attraper les pièces nouvelles oubliées sur la table à cause du trouble éprouvé à la pensée que Grégoire les regarderait. Elles ont effectivement des poitrines de références, encore légères mais bien formées qui balancent lorsqu‘elles se penchent. Les aréoles de Marie sont plus larges, les tétons de Julie plus pointus. Et sous la touffe brune du pubis, on voit se dessiner le départ du pli des fentes. Et ces cuisses ! J’en bave. Quel bonheur et c’est gratuit. Si Julie savait que je la dévore des yeux, si Marie se doutait de ma présence…
— Alors, ça vient ?
Déjà Grégoire fait demi-tour pour assister aux dernières manœuvres. L’une bourre un sein dans son bonnet avec nervosité, l’autre tortille du cul pour entrer dans son string peut-être trop étroit. Le professionnel s’impose.
— Regarde-moi ce sein qui déborde sous le soutien-gorge. Vous avez besoin d’un mentor. Tu permets petite Julie ?
Elle n’a pas eu besoin de permettre, il a plongé sa main au contact du globe, entre chair et tissu et met le « nibard » en place. L’aisance du geste, cette façon subtile d’ajuster en frottant le téton sont les signes d’une expérience certaine.
— Et toi, Marie, il n’est pas possible d’attirer l’œil sur ton string s’il ressemble à un chiffon. Le gousset doit être déployé, bien épouser la vulve ; oui tire ! Si un homme regarde le catalogue, il faut lui donner l’envie d’offrir à sa copine le string qui lui donnera un petit déclic. Regardez bien : je ...
... passe mon doigt allongé là, au milieu et j’appuie en deux ou trois va-et-vient, je creuse un peu et je souligne la fente entre les lèvres du sexe.
Il démontre ; Marie, cuisses ouvertes laisse passer le doigt qui sert à marquer la ligne en creux. Au nom de l’art et des astuces de vente, elle admet qu’on la touche, qu’on tripote son sexe, c’est le métier qui entre en même temps que le doigt séparateur. À côté de moi Aimé grogne de mécontentement et me souffle
— Mais elle se laisse masturber. Ce n’est pas vrai.
Je le calme tout bas :
— Hé ! Elle aura un travail, il faut ce qu’il faut !
— Julie, tu n’as pas compris ? Viens là.
Elle aussi a droit à la mise en évidence des formes de son sexe. Vierge ou pas, elles ne peuvent pas rester indifférentes à ces attouchements répétés à chaque essayage d’un autre modèle. Grégoire ne se prive pas de rectifier et de tâter surtout les zones érogènes, ne se retourne plus. Il mate sans vergogne et passe ensuite son temps à lisser une bordure, à faire courir un index sur la lisière d’une culotte ou à repousser sous l’étoffe quelques poils qu’il faudra couper ou raser. En attendant ces poils lui permettent un accès aux entrejambes des filles décomplexées à leur tour. Il touche, il touche encore, avec un zèle infatigable, elles rient. Il appuie, caresse, émeut les sens ; elles rêvent défilés, photos et ventes, mais rougissent d’un plaisir qui n’est pas seulement intellectuel L’ambiance est joyeuse, détendue, de plus en plus ...