1. Découverte


    Datte: 05/08/2019, Catégories: fhh, extracon, cocus, vacances, boitenuit, noculotte, init, Auteur: Soireefol, Source: Revebebe

    ... vous plaît…
    
    Je le laissai fouiller mon corps sans répondre ; ses doigts s insinuèrent dans mon string humide. Un groupe d’hommes nous surprit, ce qui brisa le charme. Je demandai à Alexandre de remonter au bar.
    
    Je reprenais mes esprits sur le canapé, entourée de mes deux hommes, quand il fit une nouvelle proposition :
    
    — Pierre, si vous voulez vivre votre fantasme, me laisseriez-vous emmener Mathilde dans un petit salon durant, disons, un bon quart d’heure ? Nous serons seuls, et je prendrai un salon sans vitre.
    
    Je me mordis, priant pour que Pierre refuse, mais il répondit oui avec quelques conseils de douceur.
    
    — Je serai doux avec elle, et elle vous racontera tout après. Maintenant, il faut qu’elle soit d’accord.
    
    Il me regarda.
    
    — Pour m’accompagner, Mathilde, vous allez retirer votre petite culotte et l’offrir à votre mari en signe de votre acceptation.
    
    Pierre m’embrassa tendrement et me murmura :
    
    — Fais-le, ma chérie : tu en as envie, et moi aussi.
    
    Sans trop réfléchir je fis glisser ma petite culotte, la roulai en boule et la donnai à mon chéri en l’embrassant.
    
    — Tu le veux vraiment, mon petit cocu ?
    
    Pierre se leva et me prit la main. Arrivés devant l’escalier, il m’embrassa en regardant Pierre.
    
    Vingt minutes après nous étions de retour ; les yeux de mon chéri brillaient comme jamais. Alexandre brisa le silence :
    
    — Je vais vous laisser ; vous devez avoir plein de choses à vous dire. Merci pour ce magnifique moment.
    
    Il m’embrassa ...
    ... à pleine bouche, serra la main de Pierre et lui tendit une carte.
    
    — Voici comment me joindre ; ce serait un plaisir de vous recevoir chez moi un soir, à votre convenance.
    
    Quelques instants plus tard nous avons rejoint notre voiture. La tête sur son épaule, je lui murmurai des mots d’amour en lui disant que je lui raconterai tout dans notre lit. Gardant ma robe, je le déshabillai entièrement. Son sexe était droit de désir. Je le fis s’allonger sur le lit et commençai à masser son sexe et ses boules gonflées.
    
    — Mon chéri, tu es un mari cocu, et moi une vraie petite putain. À peine en bas de l’escalier, Alexandre a relevé ma robe pour que je marche fesses à l’air à côté de lui. Une fois la porte fermée, il m’a embrassée et m’a ôté ma robe, il a fouillé ma chatte d’abord avec les doigts, puis avec la langue ; il m’a mise en travers de ses genoux et m’a donné une petite fessée en me disant « Mathilde, vous n’êtes qu’une salope, une bourgeoise en chaleur. Vous allez ouvrir mon pantalon, sortir mon sexe et faire ce que toutes les putains comme vous font. » J’ai sorti sa queue ; il bandait bien. Je me suis mise à genoux et je l’ai sucée. Au bout de cinq minutes, il m’a tendu un préservatif en m’ordonnant « Enfile-moi ça, salope : c’est ta chatte que je veux maintenant. » Il m’a traitée de nunuche parce que j’avais du mal à la lui mettre, et il m’a baisée à quatre pattes sur le matelas ; il m’a fait jouir avant d’exploser dans la capote.
    
    Le sexe de Pierre vibrait sous mes ...