1. Découverte


    Datte: 05/08/2019, Catégories: fhh, extracon, cocus, vacances, boitenuit, noculotte, init, Auteur: Soireefol, Source: Revebebe

    ... lendemain fut jour de punition pour moi : fesses rouges, mots crus et pénétrations sauvages pour la putain cocufieuse que j’étais !
    
    Les mois qui ont suivi ont renforcé notre amour, notre complicité, et agréablement pimenté notre vie sexuelle ; mais Pierre ne débandait pas – si j’ose dire – sur l’idée de le faire en vrai.
    
    L’été arrivant, mon chéri m’offrait des tenues de plus en plus courtes, sexy et provocantes. En voiture, à la terrasse des cafés, lors de nos balades sans enfants, dans les soirées, je devais jouer à l’épouse BCBG, un brin perverse ou vicieuse, qui innocemment montrait ses formes, ses bas et ses dessous. J’avoue que le regard concupiscent des hommes sur moi enflammait souvent mon bas-ventre. Une petite robe courte et moulante m’attira aussi des remarques désobligeantes de femmes qui, à vrai dire, ne me déplurent pas tant que cela et ont largement encouragé mon mari à me traiter de petite salope !
    
    Le début des vacances – les enfants chez les grands-parents – favorisa nos jeux.
    
    Un soir, en rentrant du travail, mon mari me montra le site d’un club libertin non loin de chez nous et me décida pour une visite découverte le vendredi suivant.
    
    Pierre a préparé ma tenue : une belle tunique rouge dos nu et bras nus nouée sur le cou par deux cordons croisés, courte et légèrement fendue sur les hanches. Des spartiates et un mini-string complétaient l’ensemble.
    
    Vers 22 heures nous avons pénétré dans le club : lumières tamisées, canapés et fauteuils cosy, ...
    ... piste de danse. Nous nous sommes détendus en buvant un verre avant de danser. Il y avait assez peu de femmes, quelques couples comme nous un peu perdus, et pas mal de mâles en chasse. L’un d’entre eux nous proposa de partager une coupe avec lui. La quarantaine grisonnante (j’ai 35ans), costume de lin clair, sympathique et dégageant une forte sensualité ; nous avons papoté en sirotant notre champagne. Les bulles aidant, la conversation dérapa sur les désirs et les envies de chacun. Durant les « aveux » de mon mari, les regards d’Alexandre devenaient de plus en plus appuyés ; je pouvais sentir la brûlure de ses yeux sur tout mon corps.
    
    — Si vous êtes d’accord, j’aimerais faire visiter à Mathilde la partie chaude du club qui se trouve au sous-sol ; en toute sécurité, bien sûr. Je la tiendrai par la main et vous nous suivrez quelques pas derrière.
    
    J’ai eu à peine le temps de rougir que Pierre prenait ma main et la tendait à Alexandre après avoir posé un bisou dessus.
    
    Le bas de l’escalier était sombre ; des bruits feutrés brisaient légèrement le silence. Alexandre me guida jusqu’à une petite pièce dans laquelle, grâce à un miroir, nous aperçûmes une femme agenouillée qui suçait deux hommes tandis qu’un troisième léchait ses jolie fesses offertes. Alexandre passa derrière moi, me prit par la taille il me blottit dans ses bras, tout en profitant pour découvrir mon corps. Ses mains effleuraient mes seins, mon ventre, mes fesses et mes cuisses.
    
    — On dirait que le spectacle ...