Flora (6)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Phantome, Source: Xstory
... surprend, comme il doit aussi surprendre Paul qui m’observait et qui vient de retirer le bandeau de mes yeux.
Il m’emporte comme une lame de fond. Tout mon corps est secoué par des spasmes incontrôlables, je jouis d’une manière inouïe en recrachant la queue de Paul. J’en perds pratiquement conscience.
Lorsque je refais surface en ouvrant mes yeux, le corps d’Henriette est en passe d’enjamber ma figure et le bras enfoncé dans ma chatte est bien le sien.
À califourchon au-dessus de moi, elle frotte la fente de sa chatte sur mon visage et elle, aussi, est abondamment mouillée. Elle reste ainsi en équilibre sur moi, collant sa chatte littéralement sur ma bouche. La main, qui toute entière était enfouie bien au fond de mon sexe, se retire brutalement. Elle ne me laisse aucun répit et déjà ses mains attrapent mes talons pour relever mes jambes le plus haut possible. Elle m’offre à son mari qui se branlait pendant qu’elle fistait ma chatte. Je sens bien le gland de la pine de Charles qui fait pression sur mon anus mais je ne peux toujours pas prononcer un mot de refus ou d’acceptation.
En une fraction de seconde, Charles, excité par le spectacle et les attouchements qu’ils se sont livrés sur toi, me pénètre par la voie rectale. Je n’ai pas eu mon mot à dire ! Paul m’avait bien prévenu que ce vieux pervers avait une forte attirance pour les petits trous du cul délicatement ourlés.
La queue raide et longue se fraye un passage entre mes fesses et du coup je ne suis même ...
... plus en mesure de lécher ce con qui reste soudé à mes lèvres, qui bouge et me plaque sur le lit, m’empêchant de crier de douleur puis de plaisir.
Je suis leur chose, une poupée sexuelle qu’ils prennent comme ils le désirent. Je suis... leur salope.
Dans cette torpeur qui m’enveloppe lentement, une sorte de plaisir trouble revient, comme pour me propulser vers un autre orgasme. Mon trou du cul extrêmement dilaté ne me fait pas souffrir et la pine de Charles glisse dans cet étroit conduit, ouvert par son gros gland qui le visite. Soumise, je n’oppose aucune résistance ! Mais j’avoue... que je n’ai pensé, une seule seconde, d’essayé de le faire.
Henriette a lâché mes jambes que je garde relevées et son mari me lime lentement, faisant aller et venir son chibre dans mon rectum.
Les sensations sont différentes, tellement hors-norme, mais qu’elles sont bonnes !
Que c’est bon de sentir une belle queue qui remplit merveilleusement mon petit trou du cul, tellement bon que je contracte mes muscles anneaux pour accentuer la pression que son gros gland exerce sur mes parties anales sensibles
Finalement J’apprécie cette autre forme de possession et dans une sorte de brouillard, les yeux embués, je vois que Paul c’est redressé pour venir enjamber mon corps en tournant le dos à Henriette qui caresse ses fesses.
Dans la grande glace de l’armoire de chambre, je vois Paul qui tient sa queue qui a repris du service et qui dirige le bout de sa queue vers ...
Non... je n’en ...