Flora (6)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Phantome, Source: Xstory
Pendant 3 jours je suis à la diète de sexe car Paul a dû se rendre chez un Notaire à plus de 200 kilomètres de chez nous pour une histoire de succession.
Je broie du noir, je suis de mauvaise humeur car même en me masturbant fréquemment je ne suis pas satisfaite sexuellement.
J’ai envoyé balader ma mère qui n’arrêtait pas de me questionner pour savoir ce que j’avais et j’ai failli aller voir Charles pour qu’il me baise afin de me sentir mieux !
Dès que Paul m’annonce qu’il revient chez lui, le lendemain, je vais rejoindre Paul pour qu’il me fasse l’amour.
Après deux belles jouissances ou mon corps est provisoirement satisfait, je lui avoue qu’il m’a manqué énormément, que je n’ai pas arrêté de me masturber en pensant à lui et à sa belle queue et que j’ai même envisagé d’aller voir son copain Charles pour qu’il éteigne le feu qui couvait dans ma chatte.
Il n’a pas l’air fâché et en parlant de Charles je lui demande si Charles a une femme.
— Oui, elle se prénomme Henriette et crois-moi c’est une superbe salope.
En minaudant et en embrassant son sexe tout en le regardant, je lui demande.
— Plus salope que moi ?
— Peut-être mais tu vas vite la dépasser si tu continues comme ça !
— Tu as déjà couché avec elle ?
— Bien sûr, avant de te rencontrer, elle et Charles m’invitaient souvent et ça finissait toujours par de belles baises à trois.
— J’imagine... si elle aime le sexe autant que moi. Mais maintenant je suis là. C’est moi ta petite ...
... salope.
— Oui ma chérie et tu es beaucoup plus belle et désirable qu’elle. Mais je dois t’avouer que je l’ai vue pendant que tu étais absente.
— Ooooohhhh ! Et tu l’as baisée ?
— Non, elle m’a juste fait une belle pipe !
— Ah bon... raconte-moi.
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La pipe d’Henriette
Lorsque je suis arrivé chez Charles, il n’était pas là. Sa femme devait sortir de la salle de bain car elle m’a ouvert la porte juste couverte d’un peignoir de bain, mal fermé, ses gros seins au trois quarts découverts.
Quand je lui ai fait la bise en passant ma main sous son peignoir pour prendre son cul et l’attirer vers moi, elle m’a roulé une galoche du diable qui m’a fait bander rapidement. Sentant ma raideur sur son ventre, Henriette a mis ma bite à l’air, s’est mise à genoux et elle a avancé sa bouche pour la poser sur ma queue pour sentir sa chaleur et sa rigidité. Elle me fait plusieurs bisous dessus, en montant jusqu’à mon gland pas encore complétement décalotté, puis en descendant jusqu’au scrotum. Elle lève ses yeux vers moi et avec un grand sourire elle me dit.
— Ta vraiment une belle queue Paul. Elle fait moins vieille que celle de Charles.
Ses lèvres glissent de nouveau le long de ma bite et elle caresse mes couilles avec le bout de sa langue, sans cesser de m’observer pour voir mes réactions.
Voyant les signes du plaisir qu’elle me procure, elle donne plusieurs autres coups de langue sur mes bourses, avant de demander :
— Ça te plaît ?
— Oui, comme toujours, ...