1. Retour de bâton pour femme infidèle (3)


    Datte: 08/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: pacoouzo, Source: Xstory

    ... volées sur ses épaules, deux volées sur son pubis et les deux dernières sur ses seins, ce qui eut pour effet de faire sauter les pinces. Elle compta tous les coups, mais poussa un grand cri lorsque les pinces se détachèrent.
    
    Sa chatte expulsa un grand jet de cyprine. Mireille était une femme fontaine qui s’ignorait et elle venait d’avoir un énorme orgasme sous les coups de fouet. Son corps était zébré de traces qui le rougissaient. Je la détachais et elle tomba à genoux sous l’effet de sa jouissance.
    
    Je la saisis dans mes bras et la porta jusqu’à sa chambre avant de la coucher sur son lit. Je la laissais récupérer avant de lui demander.
    
    — Comment te sens-tu ?
    
    — Bien. Je sens un peu la brûlure des coups, mais pas plus qu’un coup de soleil. Mais ce qui est incroyable, c’est la jouissance que j’ai éprouvée avec les pinces et lorsque vous m’avez cinglée. Je n’avais jamais connu un plaisir aussi fort. Je pense avoir eu le meilleur orgasme de ma vie. Je vous remercie, Maître.
    
    — Je suis content pour toi.
    
    — Voulez-vous que je m’occupe de vous, Maître ?
    
    Mireille se redressa et commença à avancer sa main vers mon entrejambe.
    
    — Non, arrête. Qu’est-ce que tu n’as pas compris lorsque je t’ai dit que nous n’aurions plus de rapport sexuel ?
    
    — Mais je pensais bien faire. Je voulais vous rendre le plaisir que vous m’avez donné.
    
    — Mais tu ne comprends pas. Je ne couche pas avec une salope infidèle qui se laisse enculer par le premier venu. J’ai décidé de réserver ...
    ... mon corps et mon amour pour une femme qui saura me respecter. Tu m’as perdu définitivement. Cela fait partie de ta pénitence. Ne recommence jamais ça, sinon je te fous dehors et je diffuse la vidéo et les photos. As-tu bien compris ?
    
    — Oui Maître.
    
    Je la vis baisser la tête et se mettre à pleurer à chaudes larmes tout en hoquetant. Elle faisait pitié à voir. J’avais envie de la prendre dans mes bras et la consoler. Au lieu de ça, je lui dis :
    
    — Va te laver, tu sens mauvais. Je vais préparer le repas. Tu me rejoindras dès que tu seras propre. Par ailleurs, je ne veux plus te voir dans des tenues aguichantes en ma présence. Tu mettras des vêtements amples et non sexy. Tu ne te maquilleras que lorsque je te le dirais. Tu porteras les tenues sexy uniquement quand je t’en donnerais l’ordre.
    
    — Bien Maître.
    
    Je retournais à la cuisine, la laissant seule pour qu’elle puisse prendre sa douche. Je préparais le repas du soir. Lorsqu’elle apparut 1h00 plus tard dans l’encadrement de la porte, elle portait un sweat ample et un vieux pantalon de jogging.
    
    — Tu es parfaite comme cela, au naturel.
    
    — Merci Maître.
    
    — A compter de la fin de ce repas, c’est toi qui t’occuperas de tenir la maison. Repas, propreté, courses. Tu n’es pas prisonnière. Tu peux aller et venir à ta guise, voir tes copines, continuer au sein de ton association. Faire du shopping. Tes seuls interdits sont de ne parler à personne de ton statut de soumise et de ne plus jamais avoir de contact avec Marc. ...