1. Retour de bâton pour femme infidèle (3)


    Datte: 08/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: pacoouzo, Source: Xstory

    ... Je te laisse 2 heures.
    
    — Je te donnerais ma réponse à midi.
    
    — D’accord.
    
    Les heures qui suivirent furent longues pour moi et très courtes pour Mimi. A midi, elle réapparut au salon, vêtue d’un chemisier transparent et d’une jupe assez courte. Par transparence, je voyais qu’elle avait mis des dessous sexy. Visiblement, Mireille essayait de m’amadouer. Elle était vraiment bandante, mais il m’en fallait plus pour me déstabiliser.
    
    — Contrainte et forcée, je ne peux qu’accepter ce contrat. Donne-le moi que je le relise et que je le signe.
    
    — N’oublie pas de noter la date et ton mot de sécurité à l’article 9.
    
    Après signature, elle me rendit son engagement. Je découvris son mot de sécurité : FELIX (comme son chat qu’elle possédait lors de notre rencontre).
    
    — Très bien, je savais que tu accepterais. Cette nuit, je t’ai déjà trouvé des prétendants (je bluffais). Si tu veux, je peux te les présenter. Je n’attends que leurs analyses pour conclure l’affaire.
    
    — Tu es un bel enfoiré. Je pensais avoir un peu de répit.
    
    — Je te rappelle que mon nom n’est pas enfoiré, mais Maître. Cet écart de langage va te valoir ta première punition.
    
    — Mais...
    
    — Il n’y a pas de mais. Viens avec moi.
    
    Je lui pris le bras et l’emmenais au garage. J’avais au mur 3 rangées d’étagères fixées par des équerres. Je démontais les tablettes. Il me restait les cornières 2 en haut, deux au milieu et 2 en bas.
    
    — Adosse-toi contre le mur entre les équerres. Lève les bras et écarte ...
    ... les jambes.
    
    — Franck, s’il te plaît...
    
    — Ne m’appelle plus Franck, mais Maître. Tu viens d’aggraver ta punition.
    
    — Mais Maître, tu ne peux...
    
    — Et tu me vouvoies...
    
    — Mais Maître, vous n’allez pas...
    
    — Et si, soumise je vais...
    
    Mireille s’adossa au mur. Encore habillée, elle frissonnait, mais devait penser que ce n’était qu’une épreuve test. Je saisis les cordes à sauter dont je me servais pour mes exercices physiques, les coupais pour en avoir 4 morceaux et vins attacher les mains aux équerres du haut et les jambes à celles du bas.
    
    — As-tu l’intention de crier ou puis-je te faire confiance ?
    
    — Si tu me fais mal, je hurlerais aussi fort que possible.
    
    — Bien, dans ce cas, je me vois dans l’obligation de te bâillonner.
    
    Je pris une de mes balles de rééducation pour la main en caoutchouc et cherchais à lui mettre dans la bouche. Elle refusa d’entrouvrir les lèvres. Je pinçais son nez jusqu’à ce qu’elle manque d’air et parvins à lui enfoncer dans la mâchoire. Trop grosse, elle ne pouvait pas la recracher. J’assurais néanmoins le coup en lui mettant un gros morceau de ruban adhésif sur sa bouche. Je constatais que des larmes coulaient sur ses joues.
    
    — Est-ce que tu arrives à respirer normalement ?
    
    Elle me fit oui de la tête. Je défis ma ceinture en cuir et la découpais en lanière à l’aide d’un sécateur. Je lisais la terreur dans ses yeux. Je continuais en déboutonnant son chemisier. Ses tétons pointaient d’une manière arrogante au travers d’un ...
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