1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°958)


    Datte: 01/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... tous les goûts, des grands, des petits, des minces, des gros, toutes les origines mélangées, mâles comme femelles. Le règlement du marché BDSM était très clair et strict : Interdiction formelle que chaque esclave soit présent au marché sans son véritable consentement. C’est pour cette raison que chaque esclave proposé à la vente devait signer son plein accord, était sain de corps et d’éprit lors de sa signature qui faisait acte de foi de son entier consentement… Nos deux Dominants ressortirent au bout de deux heures, après avoir tâté des queues, des seins, des culs, avoir doigté plein d’orifices, mâles et femelles. Pour pouvoir profiter du reste du marché, ils réservèrent la marchandise qui les intéressait moyennant des arrhes, et ils devaient la récupérer en partant. Ce qui fit que les deux femelles, Sangmo et moi, attendant dehors ne purent pas savoir s’ils avaient acheté qui que ce soit, chose que les deux Dominants n’avaient aucune obligation, bien entendu, de divulguer à leurs chiennes.
    
    Ils allèrent ensuite sur le marché d’objets et de machines. Là, nous suivîmes les Maîtres à l’intérieur. Le Maître Vénéré semblait s’intéresser plus particulièrement aux pièces antiques. Il s’arrêta devant une machine visiblement ancienne mais parfaitement restaurée qui d’un même bloc comprenait un pilori et une sorte de perceuse-visseuse, reposant sur un poteau réglable à la verticale et à l’horizontale, sauf qu’à la place de la mèche, il y avait un phallus de taille conséquente. Le ...
    ... tout était en bois magnifiquement ouvragé, avec des dorures, aux finitions parfaites. C’était une pièce antique vieille de plusieurs siècles. La personne qui l’exposait Lui proposa de tester une version reproduite beaucoup moins précieuse. Je fus donc placée sur une table avec l’appareil. La possibilité de régler en hauteur le tout permis au Maître de me faire mettre à genoux, la tête et les mains emprisonnées, puis Il régla la perceuse. Dans ce mode, le phallus rentra à la vitesse qu’Il avait décidé dans mes entrailles. Dû à l’éducation qu’Il me donnait depuis longtemps, il n’eut pas trop de difficultés à rentrer malgré la taille. Quand le Maître activa le mode visseuse, le sexe en bois se mit à tourner doucement sur son axe. C’était délicieux, mais habituée à rester stoïque, je ne bougeais ni ne semblait réagir, du moins extérieurement, car intérieurement, ma chatte s’humidifiait largement. Je restais ainsi en exposition une heure, pendant que le Maître, Wangdak et Sangmo continuaient la visite. Plusieurs personnes s’arrêtèrent devant moi, s’étonnaient de mon état qui semblait indifférent à ce que mon corps subissait.
    
    On me posa plusieurs questions, dont celle de savoir qui j’étais et à qui j’appartenais. Mais je n’avais reçu aucune autorisation de parler donc je ne répondais pas. Ce fut Monsieur le Marquis qui répondit en revenant me chercher. En me libérant, Il me félicita à l’oreille de la parfaite obéissance que j’avais montré, et de l’honneur que j’avais apporté à ...