La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°958)
Datte: 01/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... Dominants, ils nous entraînèrent, à quatre pattes bien sûr, vers le préfabriqué des petdogs. Je n’en revenais pas de tout ce qu’il y avait dans cet hangar. D’abord des accessoires basiques comme des colliers et des laisses, mais il y en avait des centaines, un cuir, en chaîne, avec des pierres précieuses, en différents métaux… Il y avait des plugs anneaux imitant des queues de chien, en latex ou en fourrure de toutes les couleurs, des combinaisons imitant le vrai pelage des chiens, quelques soient leurs races. Des médailles de toutes formes, tous métaux, toutes valeurs. Des masques de chiens plus ou moins réalistes. Il y avait les mêmes sortes de jouets que l’on pouvait trouver en animalerie, et des friandises, types os à moelle mais adaptés à l’être humain. Il y avait des soumis exposés portant différents accessoires, que tous pouvaient caresser, peloter. Il y avait des femelles et des mâles. Tous avaient leurs attributs sexuels à portée de main. Il y avait plusieurs mini concours canins, ainsi que des stands pour acheter tous les accessoires nécessaires, comme l’agility, l’obédience, le pistage, le traineau et le canicross, tout étant adapté à la taille et aux capacités humaines. Le Maître confia ma laisse à Wangdak, qui continua avec Sangmo et moi, à faire le tour du hangar. Impossible de savoir ce qu’Il allait faire, et quand Il revint une bonne demi-heure plus tard, à part un sourire à Son ami, Il ne dit rien de ce qu’Il était allé faire.
Nous visitâmes chaque ...
... hangar. Le Maître prenait parfois des notes, regardait attentivement. Quand on arriva dans la zone d’achats de soumis, les Maîtres attachèrent nos laisses à des piquets à l’entrée du hangar prévu à cet effet, et rentrèrent sans se soucier de nous. Sur le sol devant nos piquets, il y avait, taillées dans du bois, des moulures creuses imitant l’emplacement des genoux, ce qui nous firent comprendre que nous devions restées à attendre agenouillées dans ces emplacements ainsi disposés. De nombreuses personnes s’arrêtaient devant nous, nous palpaient, nous pelotaient, ou au passage nous pinçait les tétons mais sans jamais nous pénétrer, n’étant pas des soumises à la vente, à l’échange ou en démonstration. Plusieurs remarques fusèrent sur le fait, d’ailleurs que c’était bien dommage, car cela nous laissait inactifs alors que nous aurions pu être utiles… A l’intérieur, les deux hommes étaient ravis par ce qu’ils voyaient. Wangdak voulait un nouvel employé. Déjà parce que former de nouveaux chiens lui plaisaient, même s’il prenait toujours autant de plaisirs avec ceux qui étaient à son service, et par ailleurs, il préférait avoir un jardinier à cent pour cent à son service, même si celui-ci était chocolat. Le fait d’avoir un jardinier du monde vanille l’obligeait à confiner son petit cheptel à l’intérieur quand il travaillait dans le jardin BDSM…
Quant à Monsieur le Marquis, il était toujours prêt à prendre un nouveau soumis sous Son joug. Parmi les esclaves exposées, il y en avait pour ...