1. « Josy » : Suite au chantage, le piège se referme. Épisode 15


    Datte: 25/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... ayant utilisé que la moitié d’une gélule, M. Jean devait déjà s’assoupir et dormirait profondément pendant plus de quatre heures et il était déjà 18h45.
    
    J’étais rentrée seule dans la chambre, apportant avec moi l’assiette de pâtisserie. Mon maitre chanteur était allongé nu, à plat dos sur le lit, les bras en croix. S’il était toujours conscient, il commençait à bafouer et à se sentir mal. Il n’avait pas fallu longtemps à attendre, quelques secondes plus tard, lorsqu’il dormait profondément, Françoise en rentrant à son tour, en voyant son petit pénis recroquevillé, ne dépassant pas les poils de son pubis, s’était mise à rire. Pressée d’en finir, j’enlevai mon peignoir et m’allongeai nue, à plat ventre contre lui.
    
    Mon amie me guida, il me fit mettre mon front sur son bras, mes fesses bien en vue et me demanda de poser ma main sur sous son gros ventre, juste au-dessus de son pubis poilu :— Tourne-toi un tout petit peu sur la gauche, il faut que je vois un peu ton sein droit. Voilà Parfait ! Si toi nous ne pouvons pas te reconnaitre, lui ce n’est pas le cas. Il ne fait aucun doute, ton M. Jean est bien couché à côté d’une jolie jeune fille. Attends ! Une dernière. Prends sa petite bite entre le bout de tes deux doigts.
    
    Le tour était joué, Françoise pris trois photos polaroid et les inspecta à la loupe : « C’est parfait ma chérie ! Tu peux te lever, il ne nous reste plus qu’à attendre qu’il se réveille ce gros salaud. » J’avais retiré ma perruque et je remis mon ...
    ... peignoir. Je remerciai mon amie et pensant qu’elle avait sans doute un amant à retrouver, je lui demandai, si elle avait prévu de rentrer tout de suite : « Tu rigoles, si ça ne te dérange pas je passe la nuit chez toi. Je ne vais pas te laisser seule, affronter ce pervers. » la situation m’avait tellement excitée et n’ayant pas pris mon pied, pour passer le temps je lui proposai : « On se fait un petit câlin dans ma chambre ? »— Bien sûr ma chérie mais avant cela, j’ai un peu faim.
    
    Nous étions redescendues dans la cuisine et je lui avais préparé une petite omelette au lard que ma mère faisait souvent au docteur. Nous avions mangé un morceau, pendant que nous nous remémorions toutes nos frasques impudiques vécues ensemble. Puis très excitées toutes les deux, nous étions remontées. En effet, Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas retrouvées toutes les deux dans le même lit. C’était le plus souvent avec un homme mais il nous était arrivé, au petit matin, quand notre cible nous quittait, de finir la nuit dans une étreinte affectueuse et sensuelle. Ce fut ce que nous avions fait ce soir-là, jusqu’à onze heures.
    
    Nous attendions patiemment à la cuisine, un verre de soda à la main, il était près de onze heures quarante-cinq, quand soudain nous avons perçu du bruit provenant de la chambre et entendu M. Jean pester en regardant probablement le réveil : « Bon Dieu ! Je suis à la bourre. Putain de merde.» Cinq minutes plus tard, il s’était rhabillé et en ne me trouvant pas sur ...
«1...3456»