« Josy » : Suite au chantage, le piège se referme. Épisode 15
Datte: 25/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... satisfaire pleinement Jean-Lou qui me croyait malade : « Qu’y a-t-il Josy ? Tu as de la fièvre ? Je te sens ailleurs depuis quelques temps. » Je m’étais blottie au creux de son épaule après l’avoir embrassé mais j’eu quelques difficultés à m’endormir. J’avais hâte dans finir avec le maitre chanteur.
La première partie de mon plan, élaboré en collaboration avec mon amie Françoise, était de le faire prendre une douche. J’avais deux raisons pour le faire. Primo, je ne supportais pas l’odeur forte qu’il dégageait car cet homme en surpoids transpirait beaucoup et je ne serais jamais parvenue à l’approcher même pour lui faire une pipe. Secundo, je devais, pendant son absence dans la chambre d’amis, verser dans son verre, la moitié du puissant somnifère. Pour cela, j’avais simulé dans la semaine quelques insomnies, probablement dues au stress occasionné par mon affaire. Ce fut avec difficulté que Jean-Charles m’en avait prescrit.
Le lundi-soir, à 18 heures, M. Jean arriva toujours avec son plus beau sourire. Il s’était mis sur son trente et un pour me rendre visite, ce n’était pas pour cela qu’il était plus beau et malgré son parfum bon marché, il sentait toujours autant. Pour ma part, une demi-heure avant son arrivée, j’avais pris ma douche et je l’avais reçu nue sous mon peignoir éponge, j’avais tiré et coiffé mes cheveux encore humides en queue de cheval. Je l’avais invité à s’assoir sur le pied du lit et lui servis un Bourbon qu’il accepta puis nous avions commencé à ...
... parler.
Assise à côté de lui, je posai ma main sur sa cuisse, il n’avait pas attendu pour glisser la sienne sous le tissu éponge afin de me flatter ma belle poitrine, ferme à souhait. Bien entendu, je me laissais faire, j’aimais cela et ça lui permettait de s’exciter un peu, c’était le but. Pendant qu’il me titillait les tétons, j’avais une question qui me brûlait les lèvres, je ne comprenais pas pourquoi, sa femme si méfiante le laissait sortir toute une nuit : « C’est vrai, ma femme est très jalouse, j’ai du mal à la supporter aujourd’hui. »
Puis il continua son explication. Sa belle-mère n’avait jamais pu le voir en peinture. Aujourd’hui veuve et malade, lorsque Simone lui rend visite dans la région parisienne, une fois par mois, cela lui laisse la liberté de sortir. Ayant répondu à ma question, en passant ma main un peu plus haut sur son entrejambe, il m’avait semblé sentir son érection. Irène ne s’était pas trompée de ce côté-là. Si son sexe était très dur, il ne devait pas être bien impressionnant. Ce fut le moment que je choisis pour l’inviter à prendre une douche :— Vous savez, je suis une grande malade de la propreté, je ne pourrais pas baiser sinon. Venez ! Je vous emmène à la salle de bain. Lui proposais-je en le tirant par la main.
Pendant qu’il se dévêtit, j’avais rechargé son verre, vidé la poudre du somnifère que je fis dissoudre. Puis j’avais tellement soif que je vidai mon verre de soda d’un seul trait, c’était probablement le stress. La salle d’eau étant ...