Un autre chemin
Datte: 25/08/2025,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
extracon,
Oral
fsodo,
extraconj,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... contente de ne pas vivre avec toi, gros salopard !
— Eh bien, maintenant, le gros salopard que je suis va se faire un plaisir de te limer puis d’envoyer toute ma sauce chaude dans la délicieuse petite dinde que tu es.
— C’est bien une mentalité de sadique, ça !
Ce qui ne l’empêche pas de commencer à se doigter pour contrebalancer mon intrusion en elle. Haletante, Monique agite déjà fébrilement ses doigts dans une fente que je devine ruisselante. Fente que je ne délaisse pas et que je connais fort bien, même si ces derniers temps, je suis plutôt adepte des sombres tunnels.
Je me redresse un peu, il est temps de jouer les locomotives à vapeur, en pistonnant sans relâche la voie escarpée de l’entrée des artistes. Je commence un lent coulissement de sortie pour bien apprécier la longueur dans laquelle je viens de m’enfouir, pour mieux replonger ensuite.
Puis, petit à petit, le mouvement s’accélère, le va-et-vient devient de plus en plus ample, puissant, vigoureux. Monique halète bruyamment, je sais qu’elle aime être prise de la sorte, totalement. Aujourd’hui, elle le manifeste tapageusement, avec des mots très crus, depuis qu’elle sait se laisser aller sans complexe :
— Oh oui, mon salaud ! Fais-moi sentir ton gros piston ! Ouiii !
— No problemo, ma jolie !
Ne jamais contrarier une femme qui aime qu’on la sodomise ! Si j’écris un jour mes mémoires, je pense que ça ferait un bon titre de chapitre !
— Plus fort ! Fais-moi sentir que je suis une chienne ! ...
... Ouiii, comme ça !
Le problème avec les mots crus est que c’est très excitant, surtout quand ils sortent de la bouche de la femme avec qui on baise crapuleusement ! Du coup, je serre les dents pour éviter de sauter trop rapidement à la conclusion, c’est-à-dire : me vider trop vite en elle.
Je dois attendre encore un peu, je sais que ses doigts fébriles s’activent fiévreusement dans sa fente dégoulinante et que sa jouissance va bientôt survenir. En attendant, dans une débauche de claquement de fesses et de bas-ventre, je continue de la pistonner, de la ramoner, en essayant d’être sourd à tous ces gros mots trop excitants !
— Oooh ouiii ! Je jouiiis ! Vide-toi en moi, gros salopard, fous-m’en plein le cuuul !
Il ne faut pas me le dire deux fois ! J’ouvre enfin les vannes, mélangeant mes râles de plaisir à ses cris de jouissance ! J’ai l’impression d’exploser en mille morceaux, de me répandre dans toute la pièce, de décoller par-dessus les nuages pour aller me mettre en orbite autour de la lune !
Perdu dans le noir du cosmos, je flotte dans un épais nuage blanc.
Cette phrase est peut-être contradictoire, mais ce qu’on éprouve quand on jouit, puis un peu après, échappe à la logique humaine. Une petite idée mélangée du paradis et de l’enfer…
Je reste planté là, en elle, béat, liquéfié, mais tellement heureux…
Puis arrive le moment où il faut se retirer, ce que je fais lentement pour mieux savourer l’instant présent. Puis à quatre pattes, je me dirige vers la tête ...