1. Où Marie se présente


    Datte: 25/08/2025, Catégories: fh, ff, fplusag, jeunes, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... ! Il est bientôt 10 heures et toujours personne. Je balance un instant, puis je me décide à aller les tirer de leur lit. Pour se réveiller aussi tard, qui sait si… J’avoue que mes expériences récentes – ou mon esprit tortueux – m’inspirent des suppositions coquines. Je monte à pas de loup et j’entrouvre la porte, un peu confuse de mon indiscrétion malgré tout. Que vais-je voir ?
    
    Rien ! Mes deux donzelles sont sagement endormies côte à côte. Deux pudiques tee-shirts les couvrent, à peine remontés sur deux paires de cuisses. J’aperçois même un bout de tissu blanc entre celles de Marie. Garder sa culotte la nuit, quelle idée ! Il faudra que je leur rappelle cette règle d’hygiène élémentaire, sauf jours particuliers bien sûr. Pour l’instant, je ramène la porte comme si elle avait été mal fermée et je toque dessus bruyamment.
    
    — Hou, hou ! Les filles ? Il est tard !
    — Hmmoui ? C’est toi, Maman ?
    — Non, c’est la voisine d’en face ! Levez-vous, s’il te plaît. Le petit-déjeuner est prêt depuis une heure.
    — Ouais, ouais, on arrive…
    — Ne lambinez pas, vous pouvez descendre en tee-shirt.(Oups !)
    
    Pas de réaction à ma réflexion imprudente, ouf ! Mais du coup, moi, je porte quoi ? Juste un peignoir léger, ça ira si je pense à le tenir fermé. Je ne voudrais pas choquer Marie pour son premier matin chez moi… Je ris toute seule.
    
    — Bonjour Maman. –petits bisous – On a veillé tard, désolée !
    — Bonjour Madame, pardon, s’excuse Marie les yeux encore ensommeillés
    — Chantal, ...
    ... voyons ! Je te l’ai déjà dit, la reprends-je en lui claquant la bise aussi.
    
    Elles sentent la moiteur du sommeil, un simple fumet de transpiration. C’est émouvant de découvrir l’odeur d’une peau de jeune fille, on pénètre une partie de son intimité. Chez Marie, c’est un mélange de vanille et d’agrumes, avec un soupçon de musc, peut-être. Elle s’est troublée quand nos poitrines se sont frôlées dans ce bref rapprochement. Je l’invite à se servir comme si de rien n’était.
    
    — Jus d’orange, thé, café… Prends ce que tu veux. Que comptez-vous faire, aujourd’hui ?
    
    Elles ne prévoient rien de spécial, à part paresser dans le jardin… Ma fille s’étire et bâille, de façon si évidente que je suggère à Marie de profiter de la salle de bain pendant que sa copine finit sa nuit. Je reste à table, mon petit doigt me dit que j’ai des choses à apprendre.
    
    — Elle est mignonne, cette Marie, fais-je mine de constater. Un peu timide, non ? Je l’ai croisée cette nuit, elle m’a semblé bien nerveuse.
    — Je sais, elle est revenue toute chamboulée de t’avoir rencontrée ! Tu sais pourquoi ?
    — Ben non, dis-moi, ma chérie.
    — Elle venait de me parler de toi pendant une heure.
    — Ah bon. C’est flatteur, ou inquiétant ! Qu’est-ce qu’elle t’a raconté ?
    — Oh, c’était flatteur, je t’assure ! Elle te trouve superbe, gentille, décontractée, bien différente des femmes qu’elle connaît. Je veux dire, de ton…
    — De mon âge, tu veux dire ? Oui, en effet, c’est flatteur !
    — Oui… Non… Enfin, oui. Elle est ...
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