1. Où Marie se présente


    Datte: 25/08/2025, Catégories: fh, ff, fplusag, jeunes, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, Masturbation lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... contourner. Curieux hasard, c’est vers le pubis qu’elle se dirige.
    
    C’est fin, une culotte de maillot. Mes doigts pianotent sur le mont de Vénus. Il leur suffit de se déplacer, juste un peu, pour percevoir sous leur pulpe les formes de ma vulve.
    
    C’est vraiment très fin, une culotte de maillot. Une toute petite pression, et mon clitoris réagit. Comme s’il n’attendait que cette sollicitation pour déclencher de délicieuses ondes dans mon vagin.
    
    C’est vraiment très, très fin, une culotte de maillot. Mon index et mon majeur sentent poindre l’humidité à travers le tissu. Hé bien, qu’ils restent sur ma fente ! Mon pouce repose sur le renflement du clito. Je n’ai qu’à le bouger pour me faire du bien. Anaïs me regarde, il n’y a pas de mal à ça.
    
    — Ben alors, Maman ! C’est bon ? Moi qui te croyais endormie !
    
    La voix rieuse qui m’arrache à mon rêve éveillé n’est pas celle d’Anaïs. Le sourire épanoui qui apparaît au-dessus des bras croisés sur le rebord de la piscine est celui de ma fille.
    
    — Excuse-moi, ma chérie. C’est vrai, je rêvais.
    — Oh, tu peux continuer, ça ne me dérange pas. On sait ce que c’est, le manque !
    
    (Tiens, tiens ! Y aurait-il un événement inattendu dans sa vie sentimentale ?) J’arrête mes mouvements masturbatoires pour répondre à son sourire, sans changer mes mains de place. Y a pas de raison ! Elle fait un agile rétablissement pour sortir de l’eau. Non, je ne rêve pas – ou plus – elle est à poil, une espèce de chiffon dégoulinant à ses pieds.
    
    — ...
    ... Euh… ça ne te gêne pas ? Ma culotte a glissé en nageant. Je n’ai pas pu la remettre. Mais tu as raison, c’est bien plus agréable sans !
    — Ravie que tu t’en rendes compte. Non, ça ne me gêne pas, je t’ai déjà vue toute nue, tu sais !
    — Moi aussi ! Rappelle-toi…
    
    En effet. Je n’avais pas rougi, ce jour-là, inutile d’en rougir aujourd’hui. Au contraire, je ris.
    
    — C’est vrai ! Alors, pourquoi nous gardons ces maillots quand il n’y a personne d’autre que nous ?
    — Bof ! Tant que tu ne fais pas de cochonneries sous mes yeux innocents ! Mais…
    — Je serai sage, promis. Mais, quoi ?
    — Mais j’aimerais que tu répondes à ma question.
    — Hmmoui ?
    — Est-ce que je peux inviter une copine à passer quelques jours chez nous ?
    — C’est qui ?
    — Marie.
    — Marie… celle qui…
    — Oui.
    — Bon… Pourquoi pas ? D’accord.
    — Super ! Merci Maman.
    — C’est un plaisir, ma chérie, dis-je trop vite, m’obligeant à ajouter pour faire diversion : et maintenant, reprenons notre bain de soleil… intégral !
    
    Je me déleste de mon bas de maillot sans plus attendre. Elle détourne un instant les yeux avant de me regarder franchement m’allonger à nouveau et de s’étendre à côté de moi. Ce qu’on est bien à poil dans l’herbe ! Le déjeuner attendra.
    
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    C’est un petit-déjeuner que je prépare, pour trois ! Marie est arrivée hier soir. Ça n’a pas traîné : dès le repas avalé, ma fille lui a téléphoné. Quelques heures après, elle était là. À croire qu’elles avaient tout manigancé à l’avance ...
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