Message de santé publique féminine
Datte: 24/08/2025,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
nopéné,
Auteur: volatyl, Source: Revebebe
... être à point. Quand le grand manitou annonce la levée de séance, elle coupe immédiatement sa communication et se lève tel un diable qui sort de sa boîte. J’ai presque du mal à attraper sa main.
— Attends !
— Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? me demande-t-elle en se retournant, l’air inquiet. C’est urgent ? Parce que si tu me retiens plus longtemps je vais me faire dessus.
— Oui, vraiment.
— Ça a intérêt, parce que si je me mouille le pantalon je t’assure que je vais être très sérieuse, me répond-elle, mi-amusée, mi-inquiète.
— Justement, c’est exactement ça. Je te demande vraiment de me faire confiance, de me suivre et de ne pas dire un seul mot…
Et d’un ton plus autoritaire que je n’en ai jamais eu avec elle, je rajoute en la regardant dans les yeux :
— … et de faire exactement ce que je vais te dire.
D’un pas rapide et directif, je m’élance dans le couloir tout en gardant sa main dans la mienne. Je nous amène dans une zone du bâtiment qui non seulement est moins fréquentée, mais dans laquelle je sais que les sanitaires sont très rarement utilisés et surtout sont beaucoup plus grands. Elle n’a même pas le temps de poser des questions, à peine d’émettre quelques sons de surprises ou de protestations très limités. Nous arrivons tout au bout d’un couloir obscur quand j’ouvre une porte. Ce sont des toilettes adaptées aux handicapés, elles sont très vastes. D’un geste intransigeant, presque brusque, en la tenant toujours par la main je la fais rentrer et l’amène au ...
... milieu de la pièce. Je lâche sa main, me retourne vers la porte que je ferme avec le verrou et lui parle enfin, le tout sans l’avoir regardée. J’aurais eu trop peur en croisant son regard de ne pas pouvoir continuer.
— Tu vas pisser, mais tu vas surtout faire exactement ce que je te dis au moment où je te le dis.
— Tu sais, on peut peut-être en parler avant, me demande-t-elle d’une petite voix inquiète.
— Non. Je tiens à m’excuser si je t’ai fait peur, ce n’est pas du tout mon souhait. Et non : je ne veux pas te violer. Mais je tiens à te prouver quelque chose et c’est vraiment important. Bien plus pour toi que pour moi.
Je l’entends reprendre son souffle, j’ai vraiment dû lui faire peur.
— Nico, si c’est ton phantasme, on peut vraiment en parler…
— Non non, rien à voir, ce n’est pas du tout sexuel. Je sais que j’étais trop brusque, mais je ne pouvais pas attendre, c’est important pour la situation. Je t’assure que tu vas comprendre très vite. Je te demande juste de me faire une confiance absolue bien que tout montre le contraire.
— Bien, laisse-moi encore souffler deux secondes, de toute façon, si je ne fais rien ça va être très regrettable pour mes vêtements.
— C’est exactement ce que je veux te faire comprendre et c’est pourquoi je suis avec toi dans les toilettes. De dehors, cela n’aurait pas été possible ou moins percutant. Quand tu vas t’asseoir, je tiens à ce que tu fasses ce que je te dirai au moment exact où je te le dirai, tout est dans le timing.
— Tu ...