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Eloïse, ma belle-mère octogénaire 1
Datte: 23/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... vers la résidence d’Éloïse. Je m’installe dans le bistrot en face avec un café et un journal de manière à apercevoir l’entrée de l’immeuble. Une demi-heure passe et je vois Rachid sortir seul. Il va à la boulangerie et contrairement à l’autre fois, retourne dans la résidence avec une baguette et un journal. Le temps passe, je reprends un café-croissant de plus et alors que j’allais partir, la porte s’ouvre sur le couple qui sort. Éloïse donne le bras à Rachid. Rien que de très naturel pour une dame âgée qui trouve ainsi un soutien. Ils tournent aussitôt dans la rue qui fait l’angle de la résidence et disparaissent de ma vue. Je sors tranquillement, reprends mon vélo à la main et les suis discrètement. Ils marchent assez lentement vers le petit bois au fond de la rue. Je mets mon casque de cycliste et les grandes lunettes. J’ai enfilé un jogging. Le tout me rend méconnaissable. Ma belle-mère ne m’a jamais vu ainsi. En vélo, je les dépasse rapidement pour arriver en premier à l’entrée du bois. J’attache le vélo et m’enfonce dans les taillis. Je me dissimule derrière un buisson. De là, je vois l’arrivée de la rue et je ne peux pas les louper. En effet, ils ne tardent pas à apparaître et comme je l’avais pensé, prennent le sentier qui serpente entre les arbres. Je peux les suivre sans me faire repérer. Après cinq minutes de marche, les habitations ont disparu derrière la végétation. Le couple s’approche d’un banc installé comme d’autres, tout au long de la ...
... promenade. Je suis assez proche pour les voir mais pas assez pour entendre leur conversation. Leur attitude a changé. Ils se tiennent par la main en regardant la nature autour d’eux, se regardent et se parlent Je vais pour les laisser, lorsque Rachid passe un bras autour de l’épaule de ma belle-mère. Elle se tourne alors vers lui et les bras m’en tombent ! Ils s’embrassent sur la bouche ! Ma belle-mère qui a passé les quatre-vingts ans, est en train de rouler une pelle à un homme qui a cinquante ans de moins qu’elle ! Un arabe en plus ! Communauté qu’elle n’appréciait guère auparavant ! L’autre main de Rachid qui s’est posée sur la jambe d’Éloïse, remonte sur sa poitrine pour la caresser. Il déboutonne le haut de sa robe et glisse la main dans le corsage ! La vieille se pâme ! Ma belle-mère se laisse peloter en pleine nature ! Et ce n’est pas fini. Une main d’Éloïse va se poser sur le devant du pantalon et caresse ce qui doit être la bosse de son sexe ! J’hallucine ! J’hallucine et je bande ! Voir ma belle-mère dans les bras du maghrébin m’excite ! Les deux amants n’arrêtent pas de s’embrasser à bouche que veux-tu ! Indifférents au monde autour d’eux. Éloïse, quasiment dépoitraillée tente de glisser sa main dans l’ouverture de la braguette qu’elle a descendue ! Comment une vieille femme collet-monté se laisse aller comme une adolescente, dans les bras d’un homme qui pourrait être son petit fils ? Comment un homme dans la force de l’âge, plutôt beau gosse, peut-il ...