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Eloïse, ma belle-mère octogénaire 1
Datte: 23/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... Je fais la pute ! De dire ça, m’excite ! Quand ces hommes viennent me « tirer » comme ils disent, ça m’excite ! Au moment où Rachid m’a ordonné de me mettre nue devant vous, j’ai mouillé aussitôt ! Vous vous rendez compte ? Et de vous parler comme ça, je ne vous dis pas comment je suis ! »Éloïse se colle à moi et me serre dans ses bras ! A travers ma chemise, je sens ses seins qui se pressent contre ma poitrine. Je respire son odeur. Son corps est chaud-bouillant ! Je ne sais quoi faire de mes mains que je finis par poser dans son dos ! Ma main droite est trop basse dans le creux de ses reins ! A la limite de ses fesses ! Je caresse sa peau sans m'en rendre compte. Éloïse colle son ventre au mien et peut sentir mon érection ! Je bande pour ma belle-mère de quatre vingt ans qui est nue dans mes bras ! Moi aussi j’ai chaud ! « Si vous voulez… Dit-elle, la tête dans mon épaule. Non ! Je crie en tentant de la repousser. Je suis trop vieille ! Vous avez raison ! Pourtant vous avez envie ! Je le sens ! » Elle pose sa main sur mon sexe et le caresse à travers le pantalon. « Ce n’est… Pas ça ! On ne peut pas ! Comment nous regarder ensuite ? Comment regarder votre fille ? Vous y pensez ? Vous avez raison ! C’est vous qui êtes sage ! C'est moi qui suis folle ! Mes sens me trahissent ! Mais si un jour, vous changez d’avis, sachez que pour moi ce sera oui ! Je ne vous le demanderai jamais voyons ! Soyez assurée que dans tous les cas, je saurai rester discret ...
... ! Pourtant je le sens bien. Vous bandez mon gendre ! Oui ! Mais il ne faut pas que...»Ma belle-mère me serre à nouveau dans ses bras et me donne alors sa bouche. Je ne recule plus. Je l'embrasse. J'oublie qu'elle a plus de quatre vingt ans, qu'elle est ma belle-mère. C'est une femme en chaleur qui est dans mes bras. Ma main est sur sa fesse et la pétrie sans retenue. Je glisse même un doigt dans sa raie et elle ne fait rien pour s'y opposer. Mon autre main part à la recherche de son sein qu'elle m'offre. Je le malaxe, elle titube dans mes bras. Ne pouvant la tenir je la laisse s'asseoir dans le divan profond où elle s'étale en arrière, impudique, jambes écartées elle se masse les seins, puis tend ses bras vers moi comme pour m'encourager à venir sur elle. Un dernier sursaut de conscience m'empêche de me déshabiller et de la prendre là, comme la femelle qu'elle est alors et qui s'offre au mâle. Je tombe à genoux entre ses cuisses et plonge mon visage sur sa moule béante qui ruisselle. Je me délecte de ses sucs, j'oublie qu'elle est octogénaire, j'oublie qu'elle est ma belle-mère !. Elle sent bon. C'est une femme comme une autre. Je trouve son clitoris tendu en haut de sa chatte soigneusement épilée. Je fourre ma langue dans sa figue onctueuse. Elle pose ses mains sur ma tête, m'encourageant de la voix. - « Oh oui ! C'est bon ! Bouffe-moi bien comme ça ! Mets-moi tes doigts ! Branle-moi fort ! Viens ! « J'enfonce trois doigts sans difficulté et baratte son sexe ...