1. Te souviens-tu ?


    Datte: 22/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... ne pouvoir les enfoncer plus loin encore, au fond de son cul. Toutes les dix ou quinze allé et retour, je les retire brutalement et les porte à ma bouche. Les lèche, les suce sous les grimaces avides de la jeune fille.
    
    Elle semble apprécier tout ce que je lui fais, et continue à s’offrir à mon bon vouloir. Sans aucune défense. Me donnant droit à tout. Je me permet alors de remplacer mes doigts par mon pénis. Je la pénètre lentement, à petits coups de reins. Sa bague s’ouvre à mon passage. Je ne rencontre aucune résistance. Au contraire, elle n’attend visiblement que ça. Et bientôt, je sens autour de mon gland, puis de ma verge, une tension annulaire qui coulisse facilement le long de ma verge.
    
    Et me voilà entièrement introduit dans son anus, ne pouvant aller plus loin. Je la tiens bien. Bien emmanchée. Elle halète, prononce des insanités, même des grossièretés. Elle n’a plus aucune retenue. J’entame un va-et-vient long et profond. Elle se cale contre moi en soulevant légèrement le bassin, enroule ses jambes autour de ma taille.
    
    J’effectue de brutaux mouvements de ...
    ... va-et-vient. Mon excitation monte vite. Je me sens devenu vraiment comme une bête. Elle se donne corps et âme à ce rapide et brutal ramonage. Elle hurle son plaisir, hurle son enthousiasme de se faire enculer.
    
    - Le salaud ! il m’encule… Oh que c’est bon ! … je suis enculée… pour la première fois ! … Oh que c’est bon…
    
    J’essais bien de retenir ce moment sublime, intense, fort, renversant. Mais c’est plus fort que tout et je ne peux résister à la tentation de me laisser jouir. Je me déverse en pleine puissance. De longs jets laiteux dans le cul de la jeune fille. Cette éjaculation lui provoque un délire verbal insensé, ainsi que son orgasme. Je sens ses muscles internes triaire ma verge comme pour en essorer tous le jus.
    
    Je me retire difficilement, tant elle me retient dans ses entrailles comme si elle désire refaire une partie. Pour reprendre vie, je prends sur mon siège. Elle passe ses mains derrière ma nuque, et avec un grand sourire, m’embrasse, et laisse tomber :
    
    - Tu ne trouves pas que je suis bizarre.
    
    Je la regarde avec un petit sourire en coin.
    
    - Non… 
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