1. Te souviens-tu ?


    Datte: 22/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... Je glisse mes doigts entre la ceinture élastique de son vêtement et son ventre chaud comme de la braise et fouille dans les poils. Elle ferme les yeux en desserrant imperceptiblement les cuisses. Je glisse vers un plaisir sale, sans même avoir la force de résister.
    
    Je baisse alors son leggins qui s’échoue sur ses sandales. Elle porte dessous une culotte en dentelle rose qui laisse dépasser des poils de chaque côté.
    
    Pas mécontent je me redresse, assez pour que sa langue vienne à la rencontre de la mienne pour engager une danse langoureuse et humide.
    
    Tout mon corps est en émoi. Ce baiser enflamme mon esprit autant que ce que je vois en baissant leggins, et que dire quand je sens sa main se poser sur mes attributs. Cela me fait l’effet d’un tison chauffé à blanc sur ma peau.
    
    Je perds complètement la notion du présent et de réalité, et entreprends de la soulager de son t-shirt. Mon initiative semble lui plaire.
    
    Très vite ma bouche prend possession de sa poitrine accueillante. Mes lèvres humides pour caresser ces collines au grain de peau si fin et doux. Son corps est bouillonnant.
    
    Ses mains deviennent plus osée dans ses caresses et elle s’attarde longuement sur ma virilité qui ne laisse plus aucun doute quant à mon désir pour elle qui ne fait que croître…
    
    Je la bascule sur le divan pour l’allonger et être plus à l’aise pour continuer mes investigations. Ses mamelons s’érigent. Ils sont durs, excités et sensibles.
    
    Je la sens se tendre à chaque ...
    ... attouchement. Ma bouche a très envie de découvrir son intimité. Je descend pour ça doucement le long de son ventre, jouant avec son nombril, remontant parfois sur les seins, jusqu’à sa bouche, en m’allongeant sur elle et lui faisant ressentir tout le désir que j’ai pour elle.
    
    Le désir impérieux me suggère de lui ôter sa dentelle rose, imbibée de son jus. Bien sûr elle se laisse faire. Sa respiration se fait plus forte. Elle est à présent toute nue devant mes yeux, sur le divan.
    
    Ma bouche se fait curieuse, et tente à travers les poils, atteindre son bouton d’amour. Elle tressaille, en sentant mon souffle puis ma langue humide glisser entre ses cuisses qu’elle écarte au maximum. L’odeur qui s’en dégage est comme je les aime, forte ! Très forte même. Envoûtante. Je décide de la faire monter dans le plaisir.
    
    Pour cela je la force à plaquer ses genoux contre sa poitrine pour réaliser mon désir. Celui de nicher mon nez au-dessus de son anus. Pour y sentir son effluve. Une odeur très entêtante. Puis je colle ma bouche, et aspire le trou pour le sucer. Un goût amer se répand très vite dans ma bouche. Loin d’être rebuté je fais aller et venir ma langue de plus en plus vite dans l’anus qui s’assouplisse. Le visage de Sybille est cramoisi.
    
    Léchage après léchage, l’anus se dilate et bâille autour du puits sombre et gluant. Puis je la branle. Avec deux doigts avec une sorte de rage. Faisant claquer ses fesses lorsque sa main y bute. Je pousse le vice à y associer l’annulaire. Enrageant de ...