1. Les balbutiements de l'amour


    Datte: 21/08/2025, Catégories: Première fois Auteur: Malong, Source: Hds

    ... que nous débarquions là pour goûter et nous y arrivions.
    
    Une majorité des jeunes skippers avaient bien visé l'ance en suivant le Zodiac. Je les voyaient déjà débarqués. Pour ma part, je m'étais un peu excentré. Un mauvais cap et je me retrouvais dans les roseaux. C''est donc bien dans la vase que je mis les pieds en descendant de mon embarcation. J'accrochais le voilier à un bouquet de roseaux. Je m'aperçus que Catherine avait suivi ma trajectoire. Elle se retrouvait à quelques mètres de moi. Elle n'était pas à son aise, alors je n'hésitais pas à l'aider. Nous rejoignions mollets boueux le groupe.
    
    Après un morceau de quatre-quart et une barre de chocolat le départ du retour était donné. Chacun alors rejoint sa coque de noix. Les premières embarcations parties rapidement.
    
    En gentleman j'aidais Catherine qui peinait à repartir. Je poussais son bateau pour le dégager. Rpapidemt je la rattrapais. Cependant je constatais qu'au loin les voiles de la tête du groupe avait pris une sérieuse avance.
    
    La voile de Catherine était battue par le vent et son voilier n'avançait pas. Je me plaçais à son niveau pour lui donner quelques conseils. Le zodiaque nous avait rejoint. Le mono attrapa nos cordes d'amarrage et il nous tira quelques minutes pour tenter de réformer le groupe. Les plus intrépides avançaient en direction du club alors que Catherine galérait encore. Le zodiaque fit un allez-retour. Le mono conseillait sans grand succès . Je le rassurait et je restais à côté ...
    ... de la fille. Nous étions sur le retour.
    
    Le vent baissa d'intensité puis tomba. Le temps s'écoulait mono semblait nous avoir oublié. Il n'y avait pas de stresse. J'apercevais le club.
    
    Nous deux voiliers n'avancaient plus. Assez proche l'un de l'autre Catherine me lança sa corde d'amarrage pour être cette fois-ci coque à coque.
    
    Attendant le vent, affalés dans nos bateaux respectifs le soleil nous cuissait. J'appliquais à plusieurs reprises de l'eau sur ma tête. Les gouttes sur mes lunettes ne m'empêchaient pas d'estimer les jambes de cette fille et le triangle de son entrecuisse que moulé si bien son maillot de bain. Je pouvais distinguer le dessins de sa vulve. Une érection me fit changer de position pour tenter de masquer mon état.
    
    Je ne sais pas comment elle s'en était aperçue, puisque sans complexe elle lança,- mais tu bandes.
    
    Je ne répondis pas. Cette découvert eue effet de faire disparaître ma dureté. Je répondais sans la regarder.
    
    - Oui tu m'as fait bander.
    
    Puis j'essayais de reprendre le peu de brise qui glissait jusqu'à nous.
    
    Lorsque nous arrivions à bon port avec pas mal de retard, tout le monde était déjà parti. La plage s'était vidée. Les voiliers étaient même retournés, rangés.
    
    Le 'mono' riait de notre mésaventure et même de nous avoir oublié. Il tira les deux bateaux pour les mettre au sec et consigna de bien ranger le matériel dans la cabane et de ramener la clef. Puis s'en alla rejoindre le groupe. Nous restions là livrés à nous ...