Vis-à-vis
Datte: 19/08/2025,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
hplusag,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
rencontre,
Auteur: Ericcontact, Source: Revebebe
... Frôlant son cou, passant longuement sur ses pommes aux tétons déjà dressés. Elle descend encore, arrivant à ce buisson fabuleux, tapis de poils qu’elle se met à écarter ostensiblement pour m’en révéler le secret. Elle s’allonge alors, posant ses pieds de part et d’autre de la vitre, compas grandiose exposant de manière obscène ses grandes lèvres charnues et très longues, un clitoris encore encapuchonné, mais d’un rose brun gourmand et ses mains élargissant encore plus la vue, ses orifices délicieux.
Elle se met à tourner doucement majeur et annulaire sur les lèvres et ses poils, de la raie fournie au clitoris qui se libère. Et quand elle finit par tendre le bras, c’est pour sortir du colis que je lui ai envoyé le gode à ventouse que j’ai choisi.
Elle se redresse – moue coquine encore –, semble allumer le bouton unique et colle le sex-toy à la vitre.
Trente secondes plus tard, c’est son jumeau opposé qui émet un petit son, depuis la table où je l’ai posé.
La gaine de caoutchouc vient de se connecter à son antagoniste de l’autre côté de la rue.
Marie me regarde ensuite et tourne son délicat fessier vers moi et le gode sur la vitre.
Je prends alors sa version femelle et l’enfile sur mon sexe déjà bien dur.
La sensation est étrange, mais agréable. Surtout lorsque je vois en face ma voisine venir s’empaler à son tour sur le vit de plastique.
Et en écho à cette introduction, ma gaine se met à coulisser doucement sur mon sexe.
Objets connectés, plaisirs ...
... liés.
Marie se met à aller et venir doucement, déclenchant sans délai sur mon sexe le même mouvement mécanique. Sous mes yeux le jouet de silicone pourfend les poils et écartent les lèvres en s’enfonçant de plus en plus loin, crescendo de rythme que mon propre jouet soutient en branlant ma vigueur.
Elle accentue ses hanches, s’enfile jusqu’à la garde puis, ressortant presque, utilise toute la longueur de l’objet sans savoir qu’à l’autre bout du sans-fil je suis pompé frénétiquement.
Au moment où elle jouit, je sens mon sexe emprisonné brutalement et les vibrations qu’il reçoit libèrent mon plaisir en même temps que le sien.
Marie s’allonge un moment sur le ventre, ses grandes jambes encore lascivement ouvertes à ma vue.
Elle se lève ensuite, et revient poser contre la vitre une feuille manuscrite.
Je me jette sur mes vêtements et saute dans l’escalier.
***
Je la trouve dans son salon, pièce que je découvre enfin, comme l’extérieur du cadre d’un tableau mainte fois admiré. Elle est toujours nue et semble parfaitement à l’aise comme ça.
Elle fume une cigarette et ne dit rien en me souriant. Je lui souris à mon tour, incapable de trouver le bon premier mot.
Elle écrase et jette le mégot, se lève et vient vers moi. Toujours en silence, Marie me dévêt alors et je me retrouve à mon tour dans le plus simple appareil, un début d’érection pointant étonnamment si tôt.
Elle prend mon sexe dans sa main en se collant à moi.
— J’aime quand tu me regardes, ...