1. Patricien sous le règne de César


    Datte: 19/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Divinmarkiz, Source: Hds

    ... par obéir, releva sa tunique et s’allongea. Son sexe encore à vif était comme brûlé.
    
    -Fatilla, étale l’onguent contre les brûlures et pose quelques feuilles de lys huilées (c’était un remède que Gallia tenait de sa mère et qu’elle avait institué dans la maison). Aujourd’hui tu pourras te couvrir le sexe. D’ici deux jours tout aura disparu.
    
    Le visage de Germa s’éclaira d’un maigre sourire, le remède faisait son effet et elle exprima un remerciement respectueux. Gallia posa un regard d’envie sur ce beau corps encore inexploré ; sa toison rousse était inhabituelle chez les romains et inconnue de Gallia.
    
    Avant le dîner des esclaves, elle inspecta Doria une dernière fois ; son anus était humide mais propre. Elle prit un godemiché de bois oblong qui se terminait par une base carrée et après l’avoir lubrifié elle l’enfonça doucement jusqu’à ce qu’il l’ait complètement pénétrée.
    
    -Tu le garderas et après ton dîner tu iras te caresser. Le maître aime que tu sois très humide ; fais le nécessaire.
    
    Lors du dîner de Caius auquel elle assistait accompagnée de ses deux servantes, Gallia dévoila le nom de celle qui partagerait sa couche ce soir-là.
    
    -Tu as déjà possédé Doria mais depuis elle a progressé, si tu le souhaites je peux t’apporter un fouet et une badine ; elle aime être maltraitée pendant l’amour.
    
    Il la regarda, intrigué.
    
    -Je ne te connaissais pas ces goûts car j’imagine que tes propos sont le fruit de l’expérience.
    
    Un peu gênée Gallia hocha la ...
    ... tête.
    
    -C’est intéressant mais je préfèrerais que tu sois là ; tu manies mieux le fouet que moi.
    
    -Je peux être là si tu le souhaites.
    
    -Je préfère, j’aimerais te voir faire. Je vais dans ma chambre vous attendre.
    
    Dérangée de l’avoir pour témoin, Gallia ne pouvait cependant pas refuser ; elle congédia les servantes et se dirigea vers sa chambre accompagnée de Doria. Elle lui donna à porter son olisbos et un sac de cuir qui contenait ses instruments. L’esclave devina ce qui l’attendait et se contenta de lever un regard d’envie vers sa maitresse.
    
    Déshabillé par Doria, Caius jeta un regard vers le corps encore si désirable de Gallia. Sa peau mâte de méditerranéenne, ses jambes fuselées et ses attaches fines comme celle d’une patricienne l’avaient toujours transporté ; Gallia possédait tout ce qu’un homme comme Caius pouvait désirer, elle était aussi belle qu’intelligente, ne lui manquait que la naissance mais avant tout il l’aimait pour ce qu’elle était. A ce moment précis il se demanda de nouveau s’il aurait été capable de braver son milieu pour l’épouser. Il oublia un instant son goût pour les femmes.
    
    Comme souvent chez ceux qui se connaissent si bien, les pensées s’entrechoquent et Gallia se posa la même question qu’elle rejeta, elle était là pour guider son plaisir. Elle posa le contenu de son sac sur le lit. Si Caius était familier avec le fouet, le bambou et les liens, il l’était moins avec une petite poche faite d’une peau d’animal à poils durs.
    
    -C’est du sanglier ...