1. Patricien sous le règne de César


    Datte: 19/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Divinmarkiz, Source: Hds

    ... ? A quoi sert-il ?
    
    -C’est une peau de sanglier en effet. Tu verras.
    
    D’un signe d’elle, Doria se mit à quatre pattes sur le lit et écarta les cuisses ; de ses doigts Gallia ses fesses et saisit l’olisbos qu’elle fit coulisser.
    
    -Je n’avais jamais vu cet objet.
    
    -C’est un marchand grec qui me l’a vendu cette semaine. Avec ça elle sera bien ouverte pour toi.
    
    -Elle le porte depuis longtemps ?
    
    -Je l’ai posé avant qu’elle prenne son repas. Tu peux jouer avec, Doria aime beaucoup être prise par derrière.
    
    Gallia savait combien Caius aimait, comme elle, sodomiser les esclaves autant par plaisir que pour ne pas les engrosser. Doria faisait aller et venir son bassin enserrant l’objet renflé, le faisant entrer et sortir de son anus sous la main de Caius. Gallia allongée le regardait faire et leurs regards se croisèrent ; chacun pouvait deviner le désir dévorant de l’autre. Caius connaissait le sien, celui de posséder Gallia, un désir qu’il aurait pu assouvir d’un mot mais l’amour et le respect qu’il avait pour elle l’empêchait. Il ne put deviner qu’elle partageait ce soir-là le même désir. Elle le savait, elle savait aussi que jamais il ne la forcerait ni ne ferait le premier pas. Elle posa fermement la main sur la sienne qui desserra son étreinte de l’olisbos jusqu’à le lâcher pour laisser leurs doigts se nouer. Leurs yeux ne se quittaient pas et ils restèrent ainsi leurs doigts s’entremêlant dans un ballet passionné.
    
    Elle se tourna vers l’esclave.
    
    -Doria, tu ...
    ... peux aller te coucher.
    
    Sans un mot l’esclave se retira.
    
    Gallia tourna son visage vers Caius et l’attira sur elle. Les cuisses écartées, elle saisit son pénis.
    
    -Viens, viens doucement, je suis encore presque vierge.
    
    Caius saisit ses cuisses qu’il releva et fit glisser sa verge le long de cette fente se frottant à chaque mouvement sur son clito sans la pénétrer. Cette caresse dura, Gallia contenait son orgasme.
    
    -Viens, viens, j’ai envie de te sentir en moi.
    
    Lorsqu’enfin il la pénétra, elle le serra à l’étouffer, prit sa bouche pour l’embrasser.
    
    -Je vais jouir, jouis avec moi, maintenant.
    
    Sa main saisit ses testicules pour les caresser, son râle s’amplifia pour finir dans un cri alors que Caius se déversait en elle.
    
    Leurs corps collés l’un au-dessus de l’autre, leurs langues se mêlaient encore.
    
    -Pourquoi Gallia, pourquoi ce soir ?
    
    -Parce que je t’aime Caius, je t’aime depuis que nous sommes enfants.
    
    -Moi aussi je t’aime, tu le sais, mais tu n’aimes pas les hommes.
    
    -Je préfère les femmes mais toi, tu es différent, je ne sais pas te l’expliquer mais l’amour que j’ai pour toi dépasse mes goûts et ce soir je voudrais que tu me prennes encore.
    
    Elle saisit la base de son sexe encore fiché en elle, le fit aller et venir entre ses doigts ; la verge gluante se raidit.
    
    -Viens là où tu aimes.
    
    Elle se retourna et d’un geste sans équivoque, écarta les fesses. Caius se pencha pour lécher longuement son œillet ; ses ronronnements, les mouvements de ...
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