1. Le jour où la maman est devenue une pute...


    Datte: 18/08/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Faustinebcbg, Source: Hds

    ... rapidement, rentre dans ma chambre, ferme la fenêtre et me glisse sous ma couette.
    
    - Ça y est. Je suis sortie nue, je me suis masturbée sur ma table et j’ai joui, Maître.
    
    Je ne sais pas pourquoi j’appelle ce mec « Maître ». Il ne me l’a pas demandé et je n’ai jamais appelé qui que ce soit « Maître ». Malgré mes orgasmes multiples de la matinée, je suis encore excitée. J’actualise frénétiquement mon téléphone quand, au bout de huit minutes, c’est enfin la délivrance :
    
    De : Hadrien75
    
    Le 05.07.2023 à 12h07
    
    Sujet : Re : Re : Re : Re : Jambes d’aristocrate
    
    C’est bien ma jolie petite chienne. Tu as été bien docile. Un détail cependant, je t’avais dit d’aller déjà nue sur ton balcon, pas d’y enlever ton string. Je blêmis. Tu trouveras en pièce-jointe les photos de ta séance de masturbation matinale. Cela fait si longtemps que je cherchais des photos de toi nue à visage découvert. Je n’en avais jamais trouvé. C’est désormais chose faite. Les clichés sont très bons. Tu as l’air de prendre ton pied petite salope. Tu m’es désormais entièrement inféodée. Pour tes dix ans de mariage, j’ai une surprise, tu dois bien t’en douter. Arrange-toi pour te débarrasser de ton mari. Invente n’importe quoi, un rendez-vous chez le gynéco ou une séance de gym, j’en m’en fous. Prends ta robe de mariée, je t’attends dans dix minutes en bas de chez toi.
    
    Je clique sur les photos en pièce-jointe. Quelle conne finie je fais… J’ai effectivement l’air de prendre mon pied. Les photos sont ...
    ... atroces, l’angle de vue est bon, un peu au-dessus de moi, j’ai une vague idée de la position du type. Je fais écrasée, un peu « petite truie » qui se masturbe sur sa table de jardin. Je suis en tout cas parfaitement reconnaissable. Je vais donc devenir une pute. Sa pute. Je l’ai au fond toujours cherché, la nature a retrouvé son chemin. La maison est silencieuse, mon mari a l’air d’être parti au boulot. Il m’a laissé un petit mot. Il est trop mignon. Je l’aime tellement. Pourquoi ai-je ce feu atroce entre les cuisses ? Pourquoi suis-je à ce point possédée ? Je me déteste, je me hais. Je descends rapidement à la cave, plus que neuf minutes. Je me faufile entre les poussettes, les sièges auto, les vêtements des enfants. Au fond j’aperçois le carton de ma robe de mariée. Elle est encore d’un blanc immaculé. Je l’attrape rapidement, je remonte pour enfiler une jupe et des bottines puis me pointe à l’heure dite devant ma porte. Personne. J’attends, cinq minutes, dix minutes. Puis je vois au bout de la rue s’avancer un homme brun, une quarantaine d’année. Il a l’air assez beau gosse. Ses traits se précisent alors qu’il avance vers moi. Il est effectivement très beau. Le mec s’arrête net devant moi. Je n’ai pas le temps d’ouvrir la bouche qu’il me met déjà une main au cul sous mon string.
    
    - Ton string est encore tout trempé salope… Tu as la robe ? Parfait, suis-moi.
    
    Je ne pense même pas à discuter. Je le suis, comme téléguidée, aimantée. Je monte à côté de lui dans sa voiture, ...
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