Le jour où la maman est devenue une pute... - Histoires de Sexe

Le jour où la maman est devenue une pute...

... augure pour l’évolution de notre relation (car notre relation va évoluer, et très rapidement). C’est ton anniversaire de mariage aujourd’hui si je ne me trompe pas… ? Dix ans de mariage et tu n’as pas chômé : beaucoup de sperme a coulé en toi, tu as eu trois beaux enfants, et tu t’es exposée à des milliers, peut-être des centaines de milliers de pervers qui ont éjaculé sur tes photos, jusqu’à croiser ma route… As-tu seulement une idée de la quantité de litres de sperme que tu as fait couler depuis tes débuts sur internet (car oui, je te suis depuis tes débuts ou presque, c’est une longue histoire entre toi et moi…) ? 100, 1000, plus ? Et du nombre de pervers qui ont regardé tes photos en agitant leur queues, 100 000, un million ? Je suis ton plus grand collectionneur, un archiveur minutieux. Si un jour tu cherches tes photos de nu, je les ai toutes, classées par genres, par dates et par lieux, depuis les timides du début (tu avais encore 21 ou 22 ans si je ne me trompe pas ?), celles où tu te cambrais joliment avec tes culottes roses, celles où tu avais encore des seins dignes de ce nom, jusqu’aux photos plus hard de ta période "pute". Les godes rentrés au plus profond de toi, tes trous roses écartés, ton anus dilaté, tes photos en robe de mariée… J’ai tout et j’ai tout reposté. Sans le savoir, tu es devenue une petite star du X locale. Tu n’as pas idée du nombre de mecs (et de filles) qui payeraient pour maltraiter ton cul. Tu sais, la journée va être longue. Tu comprends ...

... bien sûr que tu dois m’obéir désormais scrupuleusement et en tout point… Tu vas commencer par sortir sur ton balcon, toute nue. Je ne veux rien sur toi. Tu vas t’asseoir sur ta petite table verte, tu vas écarter les cuisses et tu vas te masturber jusqu’à jouir silencieusement. Exécution…

Ce dernier mot, « exécution » me fait frissonner. Exécution… Je ne suis désormais bonne qu’à exécuter… être exécutée… Je ne m’appartiens plus, je le sais, je le sens dans ma chair, dans mes entrailles. Je sens ma chatte, mes fesses, me seins comme se détacher de mon corps, comme s’ils devenaient des entités à part, séparées, guidées à distance. Je me lève machinalement, je me dirige vers ma porte fenêtre que j’ouvre très largement. L’air encore frais du matin pénètre dans ma chambre. Je m’avance, en string, seins nus au soleil. J’hésite, un peu. Je fais glisser mon string le long de mes cuisses. Il s’enroule sur lui-même pour former comme un petit nœud noir que je laisse tomber sur les lattes en bois du balcon. Je pose mes fesses sur la table. Elle est froide. Je sens mes fesses et le bas de ma chatte écrasés, comme niés par le métal froid de la table. Je suis dans un état second. Excitée, tellement excitée. Je ne suis pas longue à jouir. Quand je sens que le diable arrive entre mes cuisses, je bascule, jambes écartées sur la table en poussant des petits gémissements. Mon ventre se contracte, mes jambes tremblent : j’ai joui. Et j’ai honte. Je me baisse pour récupérer mon string, je l’enfile ...