1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1576)


    Datte: 16/08/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... étrangers voyageant sans nous connaître, mise à part ma main (celle qui ne tenait pas le volant) sur sa cuisse et la sienne posée sur ma main. Pourtant les effluves de sperme que nous transportions nous rappelaient ces coïts bestiaux que nous avions vécus l’un et l’autre. Je passais le portail de la Bastide rapidement pour éviter de croiser Louise et Charles et remontait le chemin jusqu’à notre logis.
    
    - Bienvenue, chez nous Antoine !
    
    - Merci Alex, merci de m’accueillir, comme tu es contraint de le faire.
    
    - Cette contrainte est un plaisir, sache-le… Je veux que tu te sentes chez toi, ici.
    
    - Tu es gentil, merci Alex !
    
    Sitôt entrés, nous nous dévêtîmes pour répondre aux exigences du Maître, puis je faisais visiter les lieux à celui qui allait être, sous peu, mon futur mari. Je découvrais dans un angle de chaque pièce en haut au niveau du plafond, une caméra de surveillance avec une petite lumière rouge allumée... Les hommes de mains du Maitre avaient donc installé tout cet équipement durant mon absence et ils avaient dû pouvoir entrer en récupérant la clé de la maison dans mon pantalon lequel je quittais à chaque arrivée dans le Château, puis ils avaient dû remettre la clé à sa place à leur retour…
    
    - Nous pourrons réaménager chacune des pièces pour que tu te sentes réellement chez toi, Antoine. Ici tout est resté dans son jus, comme mes parents le souhaitaient… Je n’ai pas eu le ...
    ... courage encore d’agencer à mon goût cette maison. Je la voudrais pourtant plus contemporaine. Nous demanderons au Maître s’il est possible de déménager tes meubles pour que tu puisses les installer ici.
    
    - Tu sais Alex, jusqu’ici je vivais dans un meublé à Villefranche-sur-Saône appartenant au Maitre. Je n’ai pas donc pas de mobilier à transporter. J’ai juste une chose qui me tient à cœur, mon violoncelle, dont j’ai hérité de ma grand-mère maternelle, que je n'ai guère connu, seul bien que je possède réellement !
    
    - Tu es musicien, Antoine ?
    
    - Oui, j’ai eu cette chance d’apprendre la musique, lorsque j’étais enfant et adolescent à l’orphelinat. La musique a été pour moi des temps d’évasion, me permettant de chasser ma tristesse et mon ennui.
    
    Je voyais les yeux d’Antoine s’assombrir. Je ne me sentais pas très à l’aise et coupable de lui remémorer ces souvenirs douloureux. Pour la première fois, je le serrais dans mes bras pour le réconforter, je ressentais bien plus que de l’affection envers lui, à ce moment-là…
    
    - Nous jouerons de la musique ensemble Antoine, je suis pianiste, un bien piètre pianiste, mais pianiste tout de même !, lui disais-je tendrement et gaiment au creux de son oreille.
    
    Antoine me regardait de ses yeux aimants, son beau visage d’ange s’éclairait de nouveau, il me souriait avec une infinie tendresse puis me posait un doux et tendre baiser sur mes lèvres…
    
    (A suivre…) 
«123»