La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1576)
Datte: 16/08/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... lisais chez lui du désir, de l’amour, oui je devinais qu’il me désirait… comme je… je le désirais, il me faut bien l’avouer… Il était clair que je ne pouvais pas nier en effet mon attirance physique et sexuelle envers Antoine que je ressentais intimement depuis la première fois où je l’avais vu dans cette cabane… Mais de là à l’aimer, je ne savais pas trop encore… Mais quand on se regardait dans les yeux, tout basculait très vite dans mon esprit… je savais … Oui je savais désormais que mon cœur battait pour lui… Il me semblait qu’une petite voix intérieure me disait que le Maître avait vu juste car mon cœur battant toujours la chamade, je voyais Antoine empli de bons sentiments à mon égard, et je ressentais intensément, intimement la réciproque envers lui…
Je trouvais en effet Antoine beau garçon, attirant, une personne qu’on a envie d’aimer d’emblée, de désirer à coup sûr, de coucher avec à l’évidence, d’aimer… oui … j’en étais désormais quasiment certain, en effet… Antoine était doux et très affectueux, et oui cela ne me laissait pas indifférent… Tout cela, le Maître l’avait donc remarqué, rien ne lui échappait… Antoine semblait donc, quant à lui, avoir les mêmes ressentis attirants vis à vis de moi, je le sentais, je le devinais juste à son regard des plus amoureux et attendri qu’il me destinait quand nos yeux se croisaient longuement durant ce long silence imposé par le Châtelain… Et son regard si doux me faisait ressentir encore plus de désirs pour lui… Le Maître ...
... reprenait :
- Au niveau de votre sexualité, que je vous autorise entre vous deux, vous vous baiserez le plus souvent possible, au minima deux à trois fois par jour ! Oui, j’ai bien dit vous vous baiserez… sans utiliser vos nouilles, car celles-ci resteront en cage.
J’avais du mal à comprendre… Les doigts de Monsieur le Marquis agrippaient nos cheveux, il dégageait nos visages de son entrejambes, tirant nos têtes vers l’arrière, nous obligeant ainsi à Le regarder.
- Baiser, lorsqu’on est des chiens serviles comme vous l’êtes, c’est se donner des baisers profonds, c’est se lécher les couilles, c’est se brouter le cul, c’est également se doigter le fion, c’est se goder profondément et intensément… Vous comprenez ça, Mes putes ?
- Oui Maitre, répondions-nous, en cœur.
- Baiser, ce n’est pas uniquement dans un lit et dans la pénombre, c’est n’importe où, n’importe quand, en pleine lumière et toujours à poil. D’ailleurs dans votre logis vous resterez toujours à poil…D’ailleurs l’appartement d’esclav’alex a été équipé de caméras en vidéo surveillance directement connectées ici au Château… Les vêtements que vous portez là, resteront accrochés à une patère à l’entrée de votre demeure et vous serviront uniquement à vous revêtir rapidement si quelqu’un arrivait à l’improviste ou pour faire les courses. Aller, posez vos bouches sur mes pieds et filez, Mes chiennes !…
Dans la voiture nous ramenant à la Bastide, Antoine et moi restions silencieux, comme si nous étions deux ...