1. Une pédagogie radicale


    Datte: 14/08/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: LECOURBE, Source: Hds

    ... non surveillé par les caméras et une échelle dans le local des jardiniers, mais je n'eus pas le temps de mettre mon plan à exécution... Ce pervers de directeur me piégea avant avec l'aide de cette surveillante sadique qui ne pouvait pas me supporter. Devant le jury, réuni de manière exceptionnelle, il m'accusa de lui avoir craché dessus dans un couloir. C'était faux mais le faux témoignage de sa complice m'accabla. Mon sursis ne tenait plus... Ils n'osèrent pas me fouetter cette fois devant les autres. Sans doute la crainte de voir certaines filles se révolter... Il se réserva le droit d'appliquer lui même le châtiment et lorsque, nue et à sa merci suspendue bras et jambes largement écartés au milieu de l'estrade, il était venu devant moi et m'avait montré le long fouet fin et venimeux qu'il allait utiliser, je sus que j'allais morfler au-delà du raisonnable. Je me rappelle encore le bruit terrifiant de la lanière qui claquait sur mon dos, mes fesses et mes seins, la brûlure terrible à chaque coup puis, progressivement, une perte presque totale de conscience. Et moins je criais, plus fort il me fouettait. Je peux vous assurer qu'il y a une grande différence avec ce qui se passe entre adultes consentants comme dans ces situations dont vous parliez toute à l'heure. Là aucune sensualité, aucune excitation, du sadisme pur... L'ordure avait même donné l'instrument à sa complice pour les trois derniers coups qu'elle m'avait assénés de toutes ses forces. Je suis presque sûre ...
    ... que c'est elle qui m'a balafré le bord du sein et que la pointe si mordante n'avait pas claqué à cet endroit si sensible par hasard. Quand le lendemain ils m'ont remontée au dortoir, les autres filles ont vu mes fesses, mon dos et ma poitrine lacérés avec du sang qui perlait encore un peu partout malgré les soins rapides que j'avais reçus et il y eut une prise de conscience. Cette fois, ils étaient allés trop loin...
    
    On eut droit à l'épilogue et ce qu'elle révéla créa un certain malaise. Une des filles avait réussi à introduire en douce un portable et elle l'avait aussitôt prêté à Estelle. Quelques heures après l'appel passé à son père, elle était arrivée trop tard lorsqu'elle était descendue pour le retrouver en voyant sa voiture garée sur le parking. Le club de golf qui venait de lui servir à défoncer la boite crânienne du directeur était toujours dans ses mains quand elle l'avait découvert dans le bureau. L'homme avait suffisamment d'argent et de relations dans ce pays pour qu'aucune enquête ne soit ouverte. Pensionnaires et employés ne surent jamais réellement ce qui s'était passé ou furent convaincus de se taire avant d'être renvoyés illico sous d'autres cieux.
    
    Sans doute maladroitement car l'heure tardive et les révélations d'Estelle n'étaient sans doute guère propices à ce trait d'humour mais avant notre départ, je ne résistai pas à l'idée de pointer que, question efficacité, les ministres en charge de l'éducation dans le futur chez nous gagneraient peut-être à ...
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