1. Une pédagogie radicale


    Datte: 14/08/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: LECOURBE, Source: Hds

    ... tiré, elle avait découvert les deux piloris où avaient été d'abord placées les premières suppliciées, postérieurs offerts à la vue de toutes. Les deux surveillantes avaient remonté et fixé les jupes des filles bien haut pour qu'elles ne puissent pas retomber, dégageant du même coup le bas de leur dos, et abaissé d'un coup les culottes blanche. Chacune armée d'un martinet à longues lanières de cuir épais et doté d'un solide manche en bois, elle appliquèrent les sentences. Estelle se souvenait très bien du claquement sec sur la peau et des cris des deux filles. L'apparition rapide de marques rouges l'avait surprise mais rien d'étonnant vue l'énergie mise par ces deux femmes à cingler les postérieurs ainsi exposés. Le cul de la seconde était vraiment rouge vif quand le 25ème coup tomba.
    
    Puis ce fut leur tour. Elle n'avait plus la force de résister et comme sa sœur d'infortune elle s'était déshabillée dans le silence glaçant qui s'était réinstallé. Leurs poignets équipés de bracelets de cuir dotés de mousquetons avaient été fixés solidement bien haut au-dessus de leurs têtes à deux poteaux de bois placés de chaque côté des piloris. Solidement arrimés à de lourds socles métalliques, les demi-anneaux vissés à intervalles réguliers dans leur partie supérieure permettaient de réaliser l'opération très facilement en les plaçant sur la pointe des pieds quelque soit la taille de la victime. Les deux exécutrices avaient fini la préparation de la punition en maintenant grâce à des ...
    ... cordes leurs chevilles serrées au pied de ces mâts improvisés. Estelle se rappelait encore la maigreur extrême de l'autre fille. La peau sur les os. La féminité de sa poitrine se limitait à des mamelons très foncés et incroyablement proéminents. Elle se rappelait aussi s'être demandée sur le coup si c'était un avantage ou si les formes bien proportionnées qu'elle avait conscience de posséder atténueraient la douleur.
    
    Les lanières des martinets avaient très vite transformé leurs dos et leurs fesses exposés à la vue de toute l'assemblée en surfaces à vif, très douloureuses surtout chez Estelle. La poursuite du traitement jusqu'au 60ème coup l'avait fait hurler. Le sang perlait à plus d'un endroit sur son corps qui avait fini strié de marques rouges carmin dont certaines avaient viré très vite au violacé. C'est totalement brisée qu'elle se souvint avoir été emmenée ensuite à l'infirmerie.
    
    A ce moment, je fus convaincu que même si les lanières souples du martinet avait marqué durement Estelle ce soir-là, il était impossible que cette punition soit responsable des lignes toujours bien visibles deux ans après sur son dos. La fin du récit d'Estelle confirma que je ne me trompais pas et qu'elle avait subi bien pire. Elle ne laissa pas le temps aux autres de tirer la même conclusion et enchaîna.
    
    Je mis plusieurs jours avant de pouvoir m'asseoir correctement et m'allonger sur le dos. J'étais vénère, bien décidée à me tirer au plus vite de cet enfer. J'avais repéré un coin du parc ...
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