Duchesse de Montrose
Datte: 14/08/2025,
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Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe
... produisit une sensation très forte. Une contraction intense suivie d’un orgasme lui vint aussitôt. Plusieurs giclées de cyprine arrosèrent le visage de la lécheuse qui ne s’attendant pas à ce phénomène, eut la surprise d’en découvrir le goût salé.
— Excuse-me, fit Lyndsay, toute gênée de découvrir ce phénomène qui était nouveau pour elle.
— J’ai froid maintenant ! s’exclama Jeanne en croisant les bras et se tenant les épaules.
Comprenant par où entrait la fraîcheur du soir, elle se releva et alla fermer la fenêtre qui était grande ouverte. D’une démarche féline, elle alla sur la pointe des pieds rejoindre son amie qui venait de se blottir dans le lit.
Andrew se trouvait assez décontenancé. Par le mouvement de surface et les rires mutins qui en émanaient, il comprit que les jeux des deux demoiselles se poursuivraient sous les draps. Frustré d’être ainsi privé de la suite du spectacle, il se dit qu’il était temps pour lui de quitter les lieux. Sans toutefois oublier de récupérer le précieux mouchoir qui lui servirait de laissez-passer pour s’entretenir une ultime fois auprès de la belle ! Les deux amies entendirent quelques craquements de plancher puis une porte se refermer doucement.
Le lendemain, tout se passa comme d’habitude. Mais Andrew avait disparu. Il était parti à l’aube sans qu’aucun ne sache où. Jeanne prenait son thé à la bergamote d’un air maussade tandis que ses cousines, dévorant des biscottes à la confiture, devisaient gaiement d’une sortie en ...
... barque prévue pour l’après-midi. Lyndsay partageait le désappointement de son amie. Elle se demandait si elle n’avait pas été trop loin et si leurs jeux de la veille n’avaient pas fait fuir le jeune duc.
Après le déjeuner, Jeanne qui n’était pas d’humeur à supporter la gaieté de ses amies déclina l’invitation de la promenade en rivière. Elle partit marcher seule vers le verger, souffrit de ses espoirs évanouis là où la veille ils étaient encore intacts. Et tandis que le ciel bleuissait, que la verdure verdissait, que chaque branche, chaque fleur lui disaient que la vie était belle, son cœur restait triste comme un tombeau. Elle reconnut l’arbre contre lequel ils s’étaient embrassés, le regard dans le vague elle vivait son premier chagrin d’amour.
— Mademoiselle ? lui dit une voix qu’elle reconnut aussitôt.
Andrew était là, à quelques mètres d’elle. Frais et élégant. Beau comme à son habitude.
— Il me semble qu’hier vous avez perdu ceci, lui dit-il en tenant un petit carré de tissu blanc à la main.
Jeanne se sentit défaillir.
— Oh, merci beaucoup, fit-elle sans arriver à feindre l’étonnement. Je… je voulais aussi vous demander de m’excuser pour hier…
Andrew prit doucement sa main et y déposa le mouchoir.
— C’est moi à qui le tort revient. Veuillez pardonner la hardiesse de mes emportements amoureux, ils sont allés au-delà de ce que les convenances admettent et votre personne méritait plus d’égards, même en de pareilles circonstances. Veuillez trouver ici ce ...