1. La petite chienne de Maîtresse P. 09


    Datte: 11/08/2025, Catégories: Transexuels Auteur: byGinaputana, Source: Literotica

    ... devant.
    
    -Je sais que jusqu'à ce jour tu n'as encore jamais eu une bite dans la bouche, donc c'est bien ca te familiarisera un peu avec cette pratique, que tu découvriras sans doute bientôt. Je pense que tu as déjà vu comment cet instrument s'utilise dans les films pornos, non?
    
    -Oui Maîtresse, je sais comment ça s'utilise.
    
    -Alors viens, baise moi avec ta tête.
    
    Je m'approchai d'elle, dirigeai le gland artificiel dans sa chatte et y entrai. Cela glissa comme toujours, avec un râle de plaisir. Elle saisit immédiatement ma tête pour m'imprimer le rythme qu'elle voulait, m'enfonçant au plus profonds de ses muqueuses. Le jeu dura plusieurs minutes ainsi. Puis elle lâcha ma tête et me commanda.
    
    -Continue exactement ainsi ma petite chienne, garde le rythme, vas jusqu'au fonds et ne change rien.
    
    Elle repris la boîte pour en extraire un de ces gros vibromasseurs dotés d'une boule vibrante qu'elle plaça sur son clitoris. L'effet fut redoutable, sitôt son petit bouton stimulé par les vibrations, elle se mit à grimper vers son orgasme. Elle promenait le vibro autour du bouton, appuyant parfois avec force (j'entendais le vibreur être un peu à la peine, tellement elle pressait dessus...), puis elle relâchait la pression et poussait ma tête aussi profondément que possible en elle, mes narines saturées du mélange d'odeurs animales et de cyprine, pour faire pénétrer le gode dans les profondeurs de ses muqueuses vaginales. Il ne lui fallut guère que quelques minutes pour jouir ...
    ... à nouveau bestialement, sans retenue et sans aucune pudeur, s'abandonnant encore une fois. C'était une véritable nymphomane, chez qui l'orgasme était un vrai besoin. Elle se lova dans le sofa, repue de plaisir et me commanda de retourner dans ma chambre.
    
    La période d'évaluation de 15 jours que je venais de terminer fut aussi pour moi l'occasion de réfléchir à beaucoup de choses sur ma vie. Maîtresse me prenait souvent le soir pour discuter de ma manière de percevoir la sexualité. J'avais reçu une éducation stricte, catholique, dans laquelle on m'avait convaincu que le sexe servait à faire des enfants, point barre. J'avais même été un servant de messe très apprécié du curé (mais qui ne m'avait jamais ni tripoté, ni fait des allusions osées). Je me souviens que dans ma tendre enfance je regrettais presque de ne pas être né fille, surtout à cause des beaux habits qu'elles pouvaient porter, des chaussures à talons et aussi de se maquiller pour se faire belles. Lors d'une soirée scoute je m'étais même déguisé en femme et j'avais adoré ce moment. Puis toutes ces envies ont été effacées par mon éducation de garçon et je les ai complètement refoulées et enfouies sous une chape de déni. Mais cela était toujours présent quelque part au fonds de moi, cette envie m'habitait toujours secrètement, sans que j'en aie vraiment conscience. Maîtresse m'avait « cuisiné » avec beaucoup de doigté, au fil de quelques questions apparemment insignifiantes sur mes fantasmes et s'en était aperçue, ...
«12...4567»