1. La petite chienne de Maîtresse P. 09


    Datte: 11/08/2025, Catégories: Transexuels Auteur: byGinaputana, Source: Literotica

    ... bien, je te fais confiance, ensuite tu pourras recommencer à l'utiliser comme je te l'ai dit.
    
    Sur ces dernières recommandations, nous quittâmes l'atelier pour rentrer à la maison. Je n'étais pas vraiment bien, j'avais mal. Dans la voiture elle me serra contre elle en me disant :
    
    -Tu sais mon petit Michel, ce que je fais là, tu pourrais t'imaginer que je te fais du mal, mais sache que je le fais pour toi. Bien sur ça m'excite un maximum de te voir souffrir pour moi. mais tu verras, une fois habitué et bien cicatrisé, tu vas adorer tes décorations. Ce n'est qu'un petit mauvais moment à passer pour de futurs plaisirs.
    
    Une fois rentrés, Maîtresse me laissa tranquille pour la soirée, mais auparavant elle me fit avaler deux pilules de cialis, pour récupérer mes ardeurs. Elle avait bien sur conscience qu'elle m'avait maltraité et que je souffrais. Mes piercings me brûlaient toujours, malgré les pilules antidouleur, j'avais mal. Une heure après, le cialis faisait déjà effet. Je bandais à nouveau. Mais en gonflant, mon membre tendait inévitablement le piercing du frenulum et me faisait souffrir le martyre, tout en empêchant la plaie de bien se cicatriser. Je sais aussi que Maîtresse assumait pleinement cette forme d'insensibilité qu'elle montrait envers ce qu'elle faisait subir à son esclave, celui-ci étant destiné à vivre encore ce genre de traitements et de modifications corporelles pour l'amener à devenir cet objet sexuel parfait qu'elle rêvait de créer et « ...
    ... posséder » depuis longtemps.
    
    Le lendemain matin, je ne fus pas non plus appelé à son chevet pour lui prodiguer le premier service sexuel de la journée. Au petit déjeuner elle me dit :
    
    -Je sais que tu souffres toujours et que je t'ai assez maltraité hier. Montre moi quand même ton joli tatouage.
    
    Je retroussai la manche de ma chemise en faux cuir pour lui révéler la phrase, encore boursouflée : « Propriété privée de Maîtresse Irina ».
    
    -Mmhh que c'est joli, avec ça tu es marqué à vie, j'espère que tu en as bien conscience (elle cherchait toujours à vérifier que je m'identifiais à ses envies).
    
    -Oui Maîtresse, j'en suis tout à fait conscient.
    
    -Tu connais mes besoins sexuels. Pour ces 10 prochains jours je vais devoir me passer de ta belle bite, ça va être terriblement frustrant pour moi maintenant que tu m'as habituée à me donner ces sublimes orgasmes. Mais je ne vais pas m'en passer pour autant et donc c'est ta langue, ta bouche et ta tête qui vont me donner mon plaisir désormais.
    
    Sans rien dire d'autre, elle se dirigea vers le sofa et s'y cala, découvrant une fois de plus et sans aucune pudeur sa chatte brillante et humectée. A côté d'elle se trouvait une boîte qu'elle saisit, dans laquelle se trouvait plusieurs sex toys, dont un baillon gode à double bite noires en silicone, séparées par une paroi. Elle me fit m'approcher d'elle pour bien me sangler l'instrument autour de ma tête, en y plaçant le petit gode bien enfoncé dans ma bouche, le plus gros pointant ...
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