1. COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (4/7)


    Datte: 10/08/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... mâchoire à force de le sucer.
    
    Je ferme ma gueule, inutile de lui dire que j’ai, moi aussi une carte, dont je me servirais en cas de besoin.
    
    Et puis, viens le temps des vacances de Noël, je ressors de mon armoire mes vêtements de l’avant Paris et bien vu par papa.
    
    Ludivine aussi met des fringues plus adaptées à la vie dans notre bonne ville de Blois, mais plus sexy que les miennes.
    
    Tout le monde est content de nous retrouver, surtout maman qui veut tout savoir.
    
    • Tu as changé de coiffure, ma fille, ça te va bien, il faudra voir pour t’habiller plus en rapport des jeunes filles de ton âge.
    
    À la veille de Noël, je viens de faire les boutiques avec elle dans le centre de notre ville.
    
    J’ai des vêtements plus en rapport de ce que je suis devenue, mais que maman ignore sans pour autant être des vêtements comme ceux que je porte lorsque je sors les soirs dans les boîtes où nous allons.
    
    • Je te laisse, j’ai une visite à faire à une vieille dame grabataire.
    
    C’est notre curé qui m’a demandé d’aller la voir une ou deux fois par semaine, car elle est seule sans famille.
    
    D’un coup, je retrouve ma vie d’avant faite de curé et de bonnes œuvres.
    
    Je l’embrasse pour les achats et je la quitte, je veux retrouver un peu du cadre de ma vie d’avant.
    
    En déambulant, je passe devant le cabinet de mon père et de Charles père de Ludivine, comme il est indiqué sur leur plaque.
    
    J’entre, je vais faire la bise à papa s’il a le temps.
    
    La porte du cabinet du père de ...
    ... Ludivine s’ouvre et en sort une femme de l’âge de mes parents poussant un fauteuil roulant dans lequel un jeune homme semble avoir de sérieux problèmes.
    
    • Tu as bien compris Jeanne, tu lui fais prendre son calament et s’il s’énerve continu la pratique habituel toutes les deux heures, ça le calmera.
    
    • Oh ! elle est jolie la demoiselle, tu peux lui faire voir maman !
    
    • Jules arrête d’importuner mademoiselle.
    
    Mère et fils quitte le cabinet, c’est bien malheureux d’avoir un fils dans cet état.
    
    • Marie, comment vas-tu, il m’a été impossible de venir vous accueillir hier à l’arrivée du train.
    
    Entre, ton père est parti chez une vieille cliente qui est proche de la fin de sa vie, nous allons discuter cinq minutes, j’ai un trou de clientèle.
    
    • La femme qui vient de sortir, Jeanne, c’est la femme du notaire et Jules, c’est son fils, j’ai entendu papa parler du malheur qui les a frappés à la naissance de leur garçon ?
    
    • Oui, sans trahir de secret médical, lorsqu’il est né, son cordon était autour de son cou et son cerveau a manqué d’oxygène pendant plusieurs minutes.
    
    Le temps que la sage-femme s’en aperçoive et le coupe, le mal était fait.
    
    Il a survécu et sans pouvoir en dire plus en grandissant, les problèmes se sont multipliés.
    
    Jeanne, sa maman est une sainte femme, pleine d’abnégation pour son fils.
    
    J’entre dans son cabinet en face de celui de papa et il ferme la porte derrière moi.
    
    • Mais dit moi Marie, j’ai pu discuter avec Ludivine seule à ...