1. COLLECTION SOUMIS - SOUMISE. Ave Maria (4/7)


    Datte: 10/08/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Venu de Blois à Paris pour mes études avec mon amie Ludivine, moi qui ai été élevé dans le précepte de la robe blanche et de la perte de ma virginité le soir de mes noces. Ludivine me fait plonger dans le monde de la luxure et du sexe.
    
    J’y plonge contrainte et forcée par mon amie qui dès le premier soir où nous nous sommes installées m’a fait perdre ces illusions de mariage vierge.
    
    Savoir que c’est mon père, homme si à cheval sur les principes, qui l’a dépucelé, me fait perdre tous les tabous qu’il m’a enseignés tout au long de ces années.
    
    Je deviens aussi salope, que la salope de Ludivine, ayant baisé sur la table de consultation du cabinet ou mon père reçoit ses clients.
    
    Je devrais dire clientes, car la présence de capotes dans le tiroir de son bureau montre que Ludivine est loin d’être la seule qu’il se saute sur la table et sur sa chaise.
    
    Le mois se termine dans le rouge et par chance Ludivine a un peu d’argent sur un livret.
    
    Elle ramène 600 € qui nous permettent de tenir le coup jusqu’à l’arrivée de nos chèques envoyés par nos parents.
    
    Octobre, toujours des rapports avec des hommes divers régulièrement.
    
    La tension se fait sentir sur notre travail à la fac, mais je me sais assez bonne pour mettre un coup de collier et réussir ma première année.
    
    Novembre, fin de mois, c’est la cata.
    
    • Ludivine combien te reste-t-il sur ton livret, il faudrait couvrir notre compte.
    
    • Mon livret, tu rigoles, mets ton manteau, je vais te faire voir comment ...
    ... en octobre, j’ai pu te ramener 600 €.
    
    Prends ton portable, nous en aurons besoin.
    
    Je sens le coup foireux arriver, mais malgré cette après-midi du samedi un peu froide, je décide de la suivre.
    
    Elle se dirige vers les jardins du Luxembourg.
    
    • Regarde comment l’on fait, en octobre c’était plus facile, il faisait plus chaud.
    
    Première chose, tu observes, regarde ce vieux là-bas, trop mal attifé à oublier.
    
    Lui là, beau pardessus, tout à fait la proie qu’il nous faudrait, hélas, il est assis sur une unique chaise, il nous en faudrait deux, continuons.
    
    Regarde, près du bassin, ce vieux bien mis avec une canne à pommeau, assis, il y a deux chaises, tu t’assieds, tu l’ignores dans un premier temps.
    
    Tu trouves le moyen d’engager la conversation, mais deux fois sur trois, c’est lui qui le fera.
    
    Tu lui diras faire des études en médecine à la Sorbonne et que tu regardes un de tes cours que tu as enregistrés.
    
    Tu profiteras du froid pour frissonner et dire au monsieur que tu as besoin d’un chocolat chaud.
    
    En octobre, c’est un coca que je me suis fait payer.
    
    Il te proposera de t’en offrir un dans un des abords du jardin.
    
    Le reste, c’est facile, tu as assez d’expérience avec les hommes depuis la rentrée pour le faire cracher quelques billets contre un petit rapport chez lui.
    
    • Tu veux que je me prostitue avec cet homme qui a certainement la soixantaine.
    
    • Comment j’ai fait en octobre, je t’ai fait croire que j’avais un livret pour éviter de te ...
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