Professeures Bizutées - 2/8
Datte: 08/08/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... se calmait aux seins, s'augmentait aux cuisses trop écartées et à la mâchoire trop distendue. Elle entendit clairement le médecin et son patient : "Revenez dans une heure, j'aurai fini."
Une heure, pensa-t-elle, ça va durer encore une heure! Lorsqu'il revint, il laissa la porte grande ouverte.
- Bon, ou en étions-nous? Ah oui, la partie basse. Mettez-vous à genoux, je vous prie.
Elle le regarda surprise, interrogative.
- Oui, oui, à genoux, pressons, vous n'êtes pas seule au monde!
Elle se résigna devant cette autorité. Il l'aida à remettre les jambes sur la table puis à se tourner sur le ventre.
- Mettez bien vos coudes posés sur la table, vos genoux à la verticale.... C'est bien. Écartez-les... Voilà, parfait.
Il l'abandonna dans cette humiliante position pour aller chercher des instruments dans une armoire. Il en profita pour reprendre quelques photos car elle ne pouvait le voir.
- -Comme je vous l'ai expliqué tout à l'heure, la veine passe ici au niveau de la vulve, ses doigts glissèrent dessus, et revient au niveau de l'anus. Bien sûr, cet endroit constitue un frein physique de nature à créer un embole dangereux. Je dois absolument réduire ce frein. Cambrez bien les reins, Ne bougez pas, mademoiselle. Elle sentit un doigt tourner autour de l'anus et d'un seul coup il s'enfonça profondément. Il venait de l'enculer avec son pouce! Il ne vit pas qu'elle avait ouvert de grands yeux choqués. Les autres doigts serraient la chatte. Il reprit son ...
... stétho pour écouter dans le dos.
- Bon, c'est bien. Avez-vous encore mal aux tétons?
Il les tritura tout en gardant son pouce en place.
- Ca a l'air d'aller mieux.
Elle approuva d'un signe de tête. Il finit par retirer son pouce.
- Encore un peu de patience, ça se termine... Restez bien cambrée, c'est important. Il faut que le sang reprenne son cours naturel après le déblocage. C'est comme les tétons tout à l'heure. Il faut laisser faire la nature.
Il était reparti à son bureau pour la laisser seule durablement dans la position humiliante, ses yeux rivés sur les mamelles pendantes avec leurs bouts étirés. Il fit une photo en gros plan de l'anus plus ouvert.
La cloche de la porte d'entrée sonna encore alors que la porte du cabinet restait grande ouverte. Elle sentit un courant d'air sur son coté gauche. Il faut dire que la sale d'attente se trouvait à trois pas à sa gauche, avec des chaises qui donnaient sur le cabinet.
- Mademoiselle, je vous prépare votre ordonnance. Disons... cinq jours d'arrêt... Asseyez-vous monsieur MARCONI... j'arrive... Il vous faut de quoi bien dormir la nuit... Ça devrait aller mieux mais il vous faut encore une séance, peut-être deux.
Marconi prit place près du cabinet pour se garantir d'être le suivant à consulter.
Le vicieux médecin avait noté deux points. D'abord, la fille voulait des jours d'arrêt pour fuir son école, ensuite, elle était très prude, timide. Le premier point lui donnait une carotte à agiter pour qu'elle ...