1. Professeures Bizutées - 2/8


    Datte: 08/08/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... Détendez-vous.
    
    Il prit le pied droit de la fille et le fit pendre sur le côté de la table. Il fit de même avec le pied gauche. Elle s'en trouva grande ouverte. Il massa deux fois encore le chemin en s'attardant sur le haut des cuisses. Il nota bien que les poils devenaient humides.
    
    - Ce sera plus douloureux maintenant, mademoiselle... Il faut que j'active la zone pour que le sang circule plus vite, un peu comme une piqûre d'orties. Laissez-vous faire.
    
    Il attrapa les deux tétons et se mit à les rouler, les pincer, les tirer très haut. Elle gémit de douleur. Après ce difficile traitement, les bouts de sein avaient doublé de longueur.
    
    - Ne soyez pas douillette, il le faut, gronda-t-il. Cette technique est issue de l'acuponcture mais, elle n'utilise pas des aiguilles. Pour les cas urgents tels que le votre, elle utilise des pinces. C'est beaucoup plus efficace mais hélas c'est beaucoup plus douloureux.
    
    Il posa alors une pince sur chacun d'eux. Cette fois, elle se tendit sous l'effet des piqûres car les pinces étaient faites pour tenir de cheveux avec leurs dents pointues mais pas pour serrer de sensibles tétons.
    
    - Je sais que c'est très douloureux, mademoiselle. Je vous assure que les résultats seront probants. Courage.
    
    Son téléphone sonna alors. Il laissa Julie sur le lit et décrocha à son bureau.
    
    - Allô... Monsieur Sion oui... Maintenant?... Non, ce n'est pas possible. Que vous arrive-t-il?
    
    La conversation s'éternisa quelque peu. Elle ne pouvait se ...
    ... sortir de la douleur aux tétons. Elle se sentait seule, abandonnée, écartelée sur cette table surélevée. Elle ferma les yeux et ne vit pas que le médecin libidineux la prenait en photo. Il se félicita d'avoir gardé quelques accessoires dans ses tiroirs. Pour les pinces, elles avaient servi une ou deux patientes pour leurs cheveux ; quant au gode, il avait servi une fois une maitresse consentante. Il revint enfin à coté de Julie. Du doigt, puisqu'elle ne pouvait pas parler, elle demanda d'ôter les pinces.
    
    - Attendez... Je vérifie votre veine et si c'est bon, je les enlève.
    
    Après une nouvelle tournée de stétho, il retira la première ce qui fit revenir le sang et Julie poussa un hurlement étouffé par le godemiché. Idem pour la seconde. Elle versa quelques larmes, frotta les bouts.
    
    - Non, surtout pas mademoiselle! Laissez le sang agir. N'y touchez pas ou je devrai les remettre.
    
    Elle se dit que c'était vraiment une curieuse médecine mais tous ses récents ennuis avaient tellement émoussé son sens critique qu'elle ne vit pas la supercherie.
    
    - C'est bien reprit le médecin de plus en plus certain de pouvoir en profiter un maximum, nous allons maintenant travailler la partie basse de la veine.
    
    Une clochette signala l'arrivée d'un nouveau client dans la salle d'attente.
    
    - Un instant, je vais reporter le rendez-vous. compte-tenu de votre situation, vous êtes prioritaire.
    
    Il sortit de son cabinet en laissant la porte grande ouverte ce qui affola la fille. La douleur ...
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