Lilia
Datte: 08/08/2025,
Catégories:
fh,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... que la plage était à nous… ou peu s’en fallait… Quelques surfers, des baigneurs au loin… Après avoir marché un peu, nous posâmes nos serviettes et j’installai le petit pare-vent bleu, sans trop me préoccuper du vent, perpendiculairement à la plage… nous abritant des regards.
— Crème, chérie ?
— Oui, s’il te plaît, ça chauffe aujourd’hui !
Effectivement, c’était une magnifique journée de plein été.
Ma Lilia sentait bon, mais cette odeur de crème solaire qui a toujours agi sur mes circuits comme un puissant aphrodisiaque faisait que je ne pouvais me retenir de l’inspirer à plein nez… embrassant le cou gracile, les perles d’érotisme de ses épaules, j’avais défait le haut du joli maillot et caressai les merveilleux petits seins aux aréoles roses… Dans son dos, je n’étais plus présentable…
— Ma Lilia… ! Que tu es belle !
Tournant la tête, elle leva son beau regard clair, et murmura :
— Merci, chéri… Viens… embrasse-moi… Oh ! J’ai envie…
Je jetai un coup d’œil par-dessus le pare-vent…
— Il y a un couple pas loin, ils viennent par ici…
— Je m’en fous… je… ! Embrasse-moi… prends-moi… ! Viens !
Je me tenais dans son dos, la caressant, embrassant son cou délicat, sans plus me préoccuper de qui venait ou non, mon petit amour se collait à moi, m’appelait de tout son corps, de toute sa magie. Je caressai d’une main les petits seins dressés, gonflés de désir, et de l’autre le joli coquillage aux ourlets de chair tumescents, y introduisis deux doigts qui ...
... glissèrent dans l’antre velouté, ruisselant «Ma Lilia ! Mon amour… ! Ma joie ! », elle s’était mise à gémir doucement, en proie à un désir impérieux, et poussait ma main en elle…
— Encore ! Oh… ! Encore… !
Je l’allongeai et écartai ses jambes, enfouis mon visage entre ses cuisses satinées, embrassai la jolie cyprée soyeuse noyée de désir. J’agaçai son clitoris de ma langue, le pinçai entre mes lèvres, le suçai et le mordillai, elle se tendait, gémissante, plaquant mon visage sur son intimité noyée de sa cyprine qui me semblait un miel…
J’entendais ma jolie chérie jouir à petits cris rauques… je ne pouvais m’arrêter. J’accentuai les mordillements sur son petit bouton dur comme de la pierre, déclenchant des spasmes de jouissance qui la secouaient et qu’elle accompagnait de râles étouffés.
Elle se redressa, le regard vacillant, me prit aux épaules :
— Baise-moi… Oh ! Baise-moi !
Je la pris dans mes bras, passai entre ses jambes et m’enfonçai lentement en elle… je me mis à bouger doucement, provoquant râles et soupirs de ma belle chérie… lentement, j’augmentai la cadence et la puissance de mes coups de boutoir, faisant crier ma Lilia… notre orgasme éclata en même temps…
J’embrassais mon bel amour que je tenais serré dans mes bras… Le couple s’éloignait… ils nous avaient regardés.
— Oh, chéri… chéri ! Oh, qu’est-ce que c’était bon… !
— Qu’est-ce qu’il s’est passé chaton ? Tu n’as jamais joui comme ça… c’est l’effet « sable »… ?
Elle rit…
— Oui ! Enfin non… ...