Les jeux dorés de Dorothée - 1
Datte: 07/08/2025,
Catégories:
fh,
fête,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
hdanus,
uro,
init,
BDSM / Fétichisme
Auteur: Jules Fontaine, Source: Revebebe
... bien signifier que je n’ai pas perdu une miette du concert. Les yeux brillants, Dorothée se tortille toujours sur son tabouret et puis, n’en pouvant plus, elle me souffle qu’elle a vraiment envie de prendre l’air :
— Ça te dirait d’aller chez moi ? J’habite à dix minutes.
Sans même lui répondre, je la saisis par le bras et nous quittons le tumulte du bar pour le calme de la rue. Le printemps est bien installé depuis quelques semaines. Le bleu sombre du ciel annonce une belle nuit et nous marchons main dans la main dans la douceur du soir. Vus de loin, nous avons tout du couple en pleine balade romantique. Sauf que notre dialogue n’a rien de mièvre :
— Tu as aimé hier soir que je te suce en te glissant un doigt entre les fesses ?
— J’ai adoré.
— Et de me regarder pisser ?
— Tu m’as troublé, je t’avoue. C’était une grande première pour moi et pour un peu, je me serais mis à genoux pour te lécher.
L’idée la fait rire aux éclats et sa main étreint la mienne avec force.
Nous sommes arrivés dans une cour faiblement éclairée. Dorothée se détache de moi. Elle me regarde, fait trois pas en arrière pour se placer dans une zone un peu plus sombre, remonte sa jupe sur sa taille et plie les jambes pour pisser. Un jet puissant lui sort d’entre les cuisses et elle affiche un vaste sourire tandis qu’elle se soulage.
— Personne derrière moi, tu es sûr ? me demande-t-elle en pouffant.
Tout comme la veille, je reste muet face à son audace. Mais lorsqu’elle se relève et ...
... fait mine de se réajuster, je m’accroupis devant elle, ma langue tendue vers sa fente que je lèche avidement. Mes genoux sont plantés dans la flaque de son urine et je m’en fous.
— Tu es vraiment dingue, toi.
— Tu veux porter plainte ?
— Ah ça non ! Un mec comme toi, c’est trop rare. Viens, mon chez-moi est à deux pas.
Son « chez elle », c’est un petit appartement très cosy avec toit-terrasse donnant sur la vielle ville. Pierres apparentes et tentures en tissus épais sur les murs, une déco sobre et soignée et au centre du salon, un canapé large couvert de coussins. Un paravent de bois ajouré masque le lit disposé dans une alcôve, et une porte coulissante en verre donne accès à la salle de bains.
Dorothée m’invite à m’asseoir au creux du sofa et me propose à boire :
— Bière ou champagne, tu préfères quoi ?
— On continue à la bière, ça serait bien.
— Tu as raison, ce sera mieux.
Je note le futur de sa phrase qu’elle laisse en suspens. Malgré le fait que nous ayons déjà fait l’amour la veille, je sens que ce soir sera différent.
Dorothée revient avec verres et bouteille posés sur un plateau. Elle s’installe sur un pouf face à moi, puis elle éclate de rire devant mon jean taché aux genoux et me demande si je ne serai pas plus à l’aise sans mon pantalon souillé. Elle ne dit pas mouillé. Non. Elle dit souillé :
— Allez, laisse-toi faire, me dit-elle en s’emparant de ma braguette.
Je n’ai bien sûr aucune envie de protester. Tout au contraire, je suis en ...