1. Les jeux dorés de Dorothée - 1


    Datte: 07/08/2025, Catégories: fh, fête, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, hdanus, uro, init, BDSM / Fétichisme Auteur: Jules Fontaine, Source: Revebebe

    ... étrangers fraîchement débarqués sur le campus. Je traduis et corrige des notices techniques rédigées dans un anglais très approximatif. Découvrir que nous partageons le même goût pour la langue nous fait rire comme des gamins. De sales gamins.
    
    Vers deux heures du matin, le patron secoue la cloche pour annoncer la fermeture. Je suis sur le point d’inviter les derniers vaillants debout encore à finir la soirée chez moi, mais Dorothée m’en dissuade du regard. Visiblement selon elle, la fin de nuit n’a pas besoin d’être nombreuse pour être agitée. Je ravale ma proposition, griffonne mon adresse derrière un sous-bock que je lui donne. Elle m’effleure les lèvres du bout du doigt, furtivement et sans appuyer.
    
    Nous arrivons quasi en même temps devant chez moi. À peine entrée, elle me supplie :
    
    — Je n’en peux plus ! Elles sont où les toilettes chez toi ?
    
    Je l’accompagne jusque devant la bonne porte du couloir. Porte qu’elle laisse grande ouverte. Et que je ne referme pas. Dans la foulée de nos derniers échanges au bar, Dorothée continue de m’expliquer les menaces qui pèsent sur le monde actuel et je me retrouve de fait à l’écouter, tandis qu’accroupie au-dessus de la cuvette de porcelaine, elle remonte sa jupe, baisse sa culotte de dentelles noires avant qu’un puissant jet d’urine file d’entre sa fente épilée.
    
    Normalement, je veux dire avant elle, j’aurais dû détourner les yeux. Jamais je ne me suis trouvé dans une telle situation. Une fille en train de pisser devant ...
    ... moi ? Inimaginable ! Sauf que là, cela me paraît tout aussi naturel qu’inconvenant. Est-ce la vision de son sexe nu ou bien celle de la cascade dorée qui s’en écoule ? Sans doute les deux et l’ensemble est vaguement excitant, inutile de le nier. Déjà, je sens qu’avec elle, bien des barrières risquent fort de s’écrouler. Mais pour cette première nuit, nous restons malgré tout très classiques. Nous sombrons dans le sommeil après un soixante-neuf goulu agrémenté pour chacun d’un doigt logé au fond du cul. C’est à partir du lendemain que les choses ont changé.
    
    En nous séparant après le petit-déjeuner, nous avons convenu de nous retrouver en soirée au Meltem pour un concert de Jim, un pote anglais dont je ne rate aucun concert. Plantée sur son tabouret habituel, Dorothée m’y attend tout en discutant avec le serveur. Elle porte une petite jupe portefeuille noire ouverte sur le côté, un corsage couleur crème en soie sauvage, et des ballerines rouges assorties à son blouson en cuir.
    
    Délaissant le barman, elle me tend la main et m’attire contre elle. La chaleur de son corps, la fraîcheur de son parfum, j’ai déjà envie de me noyer en elle. Je me plonge dans le bleu de ses yeux, et c’est l’image de son torrent intime jaillissant de sa fente imberbe qui me revient en mémoire. Dire que cela m’est indifférent serait un pur mensonge. Bien sûr que c’est troublant, cette totale indécence. Cela pourrait être de la dernière vulgarité chez une autre, mais avec elle, non. En me souvenant de ...
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