1. J'ai avoué mon infidélité


    Datte: 06/08/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Chelmi34, Source: Hds

    ... n’en ont pas besoin. Le tout est monté sur des chaussures compensées de six centimètres.
    
    J’arrive à la villa de Guy vers quatorze heures. La voiture est garée dans l’allée, donc il est là. Je me gare derrière lui. Je sonne. C’est lui qui ouvre, vêtu d’un peignoir, téléphone à la main. Il doit très certainement sortir de la douche, ses cheveux sont tout mouillés. Mais a-t-il quelques choses dessous ?
    
    - Tiens Carole...devine qui est là...Flore...je te rappelle ma chérie. Je t’en prie, Flore, rentre. Quelle agréable surprise. J’étais au téléphone avec ma femme.
    
    Guy ferme la porte, m’invite à regagner le salon. Je me sens d’un coup décontenancée devant lui. C’est vrai qu’il est très séduisant, et je comprends que les femmes puissent succomber à ses charmes. Moi même, si je n’étais pas là, pour régler un problème, peut-être me serais-je laisser séduire.
    
    - Que me vaut l’honneur de ta visite ? Me demande-t-il.
    
    - C’est quoi ce sale coup que tu as fais à mon mari.
    
    - Attends, me dit-il, il faut qu’il envoie sa femme pour régler ses problèmes. J’ai toujours dis que c’était un incapable. J’espère qu’il n’est pas comme ça au lit !
    
    - Arrêtes...il me convient parfaitement au lit...en tous cas, il me satisfait pleinement. Mais je ne vois pas le rapport avec ma visite.
    
    - Allons nous installer au canapé, m’invite-t-il en me prenant par la taille.
    
    Je repoussa sa main vigoureusement, et m’assis sur le canapé en cuir. Guy s’installe dans le fauteuil, face à moi. Il ...
    ... m’explique que mon mari était trop occupé ailleurs, et qu’il ne pouvait faire du bon travail au club.
    
    Je lui expliquais que ça se discutait, et qu’il n’était pas nécessaire, de magouiller un vote. Il me répondit qu’il voulait lui montrer qu’il pouvait le battre.
    
    - Ouais...en fait, tu voulais l’humilier...c’est ça ?
    
    - J’avoue qu’il y a un peu de ça. Du reste, il n’est pas venu pour fêter mon élection. Il reste du champagne, veux-tu que nous trinquions.
    
    - Quel toupet...mais pourquoi pas.
    
    Il va à la cuisine, et reviens avec une bouteille et deux coupes. Il sert les verres, se lève, s’approche de moi, et m’en tend un. Nous sommes face à face, les yeux dans les yeux. Je suis fasciné par son regard, et me sens attirée physiquement, par cette virilité hors norme.
    
    Après une gorgée, il prend mon verre, le pose sur la table basse. Sans un mot, il s’approche de moi, me prend par la taille. Cette fois, je ne le repousse pas. Son visage est près du mien, très près, au point que nos lèvres se frôlent.
    
    Calmement, il m’allonge sur le canapé. Je suis paralysée. Il approche sa main, défait un à un les boutons de mon chemisier, l’écarte. Mes seins tendus jaillissent devant ses yeux. Il a un sifflement admiratif en les apercevant.
    
    Il sort ma chemise de ma jupe, libérant ainsi tout le haut de mon corps. Ses mains remontent sur mes flancs, caressent mes seins, fait rouler les bouts entre ses doigts. Puis il redescend. J’entends le zip de ma robe, qui glisse lentement sur mes ...
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