J'ai avoué mon infidélité
Datte: 06/08/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Chelmi34, Source: Hds
Cette histoire, même si elle est romancé, est tirée de fait réelle. J’ai volontairement très exagéré les passage érotique hard, pour conserver l’esprit du site.
Ce jour là, j’ai trompé mon mari, de façon ignoble.
Je m’appelle Flore, et je vais sur mes trente ans. Je sui mariée depuis huit ans avec Marc, de quatre ans mon aîné. Il me dit que ses copains vantent ma beauté. Ils me trouvent canon, disent que j’ai un corps bien proportionné, avec ce qu’il faut, ou il faut. Du reste, lors de soirée, tous essaient de m’embarquer dans des slows plus ou moins langoureux, tentant l’aventure, mais se cassent les dents. J’adore mon mari, et lui suis extrêmement fidèle.
Il est dix huit heure ce vendredi de juin, quand mon mari rentre, très en colère, de l’assemblé générale du club de foot, dont il est président, et créateur. En effet c’est aujourd’hui qu’on renouvelle le bureau.
- Hé...que t’arrive-t-il mon chéri. Tu es bien énervé...
Et là, il me raconte comment il a été évincé du club, suite à une magouille montée de toutes pièces, par Guy, son principal adversaire. Ce salaud est parvenu à retourner les dirigeants contre mon mari. Un complot. Guy est un homme, environ la cinquantaine ans, cheveux déjà grisonnant, très séduisant.
- Calmes-toi mon amour. Quand je te disais de te méfier de lui, que c’était un connard.
- Un connard, un enculé...il pense qu’à baiser la femme de ses potes.
- Ils valent pas mieux l’un que l’autre avec sa femme. Il paraît qu’ils ...
... organisent des partouzes. Je suis bien contente de ne pas fréquenter ses gens.
Il est vrai que, d’après les échos que j’en ai, ce n’est pas un couple très fréquentable. Je le connais très peu, pour ne l’avoir aperçu qu’une fois, suffisamment pour le juger et le détester. Au premier regard, je l’ai trouvé hautain avec son air de séducteur, ses cheveux couleurs jais, sa moustache noire.
Malgré mes propositions alléchantes, Marc passe une mauvaise soirée. Ce n’est que le dimanche matin, que nous avons eu un semblant de rapport. Faut dire que j’avais mis tous les atouts de mon côté. Je l’avais réveillé en lui suçant la queue, qui avait rapidement grossi, et raidi. Mais tous ça fut éphémère, mon mari avait la tête ailleurs. Cette fameuse assemblé avait laissé des traces, l’avait blessé. Il ne s’en remettait pas, malgré mes efforts.
Nos rapports, ce matin là, s’arrêtèrent à quelques préliminaires.
Comme tout les lundis matin, une fois que mon mari est parti au bureau, j’attaque le ménage. Après quoi, je prends un léger repas sur la terrasse.
Je ne peux m’empêcher de penser au sale coup que ce connard de Guy a fait à Marc. Je décide, à l’insu de mon mari, de lui rendre visite. Je sais qu’il ne travaille pas aujourd’hui, et que Carole, son épouse, coiffeuse de métier, est à un salon à Paris.
Je prends une bonne douche, m’admire en souriant dans le glace. Je mets un string, une jupe qui arrive à mi-cuisses, et un chemisier blanc, pas de soutien gorge, mes seins, bien ferme, ...