Le journal érotique de Maud (2)
Datte: 03/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... et rien d'autre. J'ai refermé la porte.
Mais quand même, ça durait et je suis revenue pour dire que ça suffisait, qu'ils avaient eu ce qu'ils voulaient, que je ne pouvais plus fournir seule avec la queue qu'il y avait. Quand j'ai passé une tête, j'ai vu Caro couchée par terre, à même le plancher et son Gaston à genoux lui écarter les chevilles en la limant de sa grosse bite. Elle se mordait la main pour ne pas crier de plaisir. A voir ce cul de mec remuer, ces plantureuses couilles balloter, j'ai eu une bouffée de chaleur qui m'a mis le feu aux joues et ailleurs. En revenant à la boutique, j'aurais été capable de prendre un beau client par le col et de l'emmener derrière me sauter. Mais il n'y avait que des dames d'âge mûr.
Bref, un bon moment plus tard, ils sont sortis tout guillerets, apaisés, comblés. Gaston a fait une bise à Caro sur les lèvres et il est parti. Sa dulcinée a repris son boulot comme si elle avait juste été aux toilettes avant, alors qu'elle venait d'être baisée comme une chienne en chaleur par un chien en rut. Elle a vu à ma tête que j'avais peu apprécié. "T'inquiète, à charge de revanche", m'a-t-elle dit. Ben voyons. Comme si j'avais un régulier susceptible de me faire du bien pendant mes heures de boulot. Déjà que j'ai du mal à choper le livreur de légumes, un beau mec qui me fait rêver mais qui est toujours entre deux livraisons. On a beau dire mais une femme mariée a des avantages qu'une divorcée n'a pas. La liberté, oui, mais faut pas croire, ...
... à la quarantaine, elle n'est pas aussi généreuse qu'à vingt ans.
Lundi
Week-end familial avec les enfants dont j'avais la garde alternée. Cela me fait oublier ma solitude sexuelle. J'ai quand même sorti mon gode dans mon lit vendredi soir. Je me suis branlée comme une midinette en repensant au cul de Gaston virevoltant entre les cuisses de Caro. Et j'ai joui. En silence. Ce matin, j'ai arrêté de lui faire la gueule comme samedi et je lui ai dit qu'elle ne connaissait pas sa chance. Elle a fini par en convenir, tout en disant que ce n'était pas une raison pour délaisser les bonnes occasions. Une sacrée libertine, Caro, qui pourrait le croire en la voyant encaisser les sous des vieilles dames venant acheter leur chou fleur. En aparte, elle m'a dit qu'il ne tenait qu'à moi d'en faire autant, comme je l'avais montré avec les deux jeunes Noirs. "Tu n'es pas non plus une oie blanche", m'a-t-elle dit. Et de m'inciter à choper le livreur une fois pour toutes. Facile à dire, c'est un courant d'air, ce mec. Alors, j'ai pris les devants avec mes yeux de biche. Dans la réserve, je lui ai demandé s'il avait le temps de déjeuner, ou au moins de prendre un café. Il a eu l'air troublé, a un peu bafouillé. Mais il a dit OK. Demain à 13h au kebab du coin. J'aime pas trop ça mais bon, c'est un jeune gars, il doit avoir à peine trente ans. On va encore dire que je joue les cougars. C'est ce que me reproche ma fille aînée quand elle me voit mater des mecs.
Seulement voilà, j'ai eu une ...