Le journal érotique de Maud (2)
Datte: 03/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
Vendredi
J'écris après la journée de boulot à l'épicerie bio. Drôle de journée. C'est rare mais j'en ai un peu voulu à Caroline, ma collègue, aujourd'hui. Sur le coup de 10h, alors que les clients affluaient, elle a reçu un coup de fil sur son portable de son mari Gaston. Au début, je la voyais sourire au téléphone tout en servant les clients ou les faisant payer. Puis elle a glissé quelques mots comme "tu te vantes" ou "tu n'es pas celui que tu crois être" et même, entre ses dents mais je l'ai bien entendue, "je te trouve un peu mou en ce moment". J'ai compris qu'ils se chauffaient. Bien qu'elle ait dix ans de plus que lui avec ses 45 balais, comme moi, il est fou d'elle. Il rentrait d'une semaine de déplacement car il travaille dans la maintenance d'usines et il voulait, je l'ai compris, la baiser au plus vite. Quand elle lui a dit "pas question, attends ce soir", j'ai été un peu soulagée. Je ne me voyais pas tenir la boutique toute seule.
Manque de bol, une demi-heure après, je le vois débouler, le regard brillant, quasi la bave aux lèvres. C'est un petit mec râblé, musclé, tonique, pas une gravure de mode mais terriblement viril. Le genre de type qu'une femme aime avoir dans son lit quand elle veut s'envoyer en l'air sans complication. "Oh non, c'est pas vrai !" a dit Caro en le voyant. Gaston est passé derrière le comptoir et a commencé à l'embêter. Il lui mettait la main aux fesses en lui disant des trucs à l'oreille, devant les clients. J'allais l'engueuler ...
... quand Caro a pris les devants : "excuse-moi Maud mais j'ai quelque chose à régler rapidement dans l'arrière-boutique, fais au mieux en m'attendant". Tu parles ! J'avais bien vu qu'il l'avait excitée. J'ai profité d'une courte accalmie dans la boutique pour jeter un oeil dans la pièce du fond où on entrepose nos réserves. Caro était assise sur la tablette le long du mur, le tee shirt retroussé au-dessus de ses nichons à l'air, son jean et sa culotte par terre et l'autre, les jambes de sa femme sur les épaules, en train de mélanger sa petite moustache dans son barbu. Pendant qu'il la dégustait, elle croquait une pomme ! "Je mange pendant qu'il me mange", elle m'a dit en rigolant et en le regardant faire son cunni. Mais elle a eu un petit gémissement qui montrait qu'elle n'était pas aussi insensible que ça. Je me suis retirée et je suis revenue dans la boutique où des clients m'attendaient.
Ne la voyant pas revenir, j'ai fini par jeter à nouveau un oeil dans l'arrière-boutique. Gaston était assis sur une chaise et Caro empalée sur lui et dos à lui, les mains posées sur ses cuisses pour tenir en équilibre et bien remuer son gros cul. Complètement à poil. La chaise couinait, menaçant de s'écrouler. Elle m'a regardée mais n'a rien dit, sinon des gémissements qu'on dit quand on est bien baisée. Elle avait le regard illuminé, la langue sur les lèvres, et j'ai compris qu'il n'y avait rien à attendre d'elle dans la boutique. Ce qui l'intéressait, c'était ce qui se passait dans sa chatte ...