1. Le dominateur


    Datte: 16/01/2018, Catégories: fh, fépilée, caférestau, fsoumise, hdomine, noculotte, Oral fgode, fdanus, fsodo, jeu, init, Auteur: Damien, Source: Revebebe

    ... attentions.
    
    Vincent, collé à elle, caresse le genou d’Ingrid. Il remonte le long de sa cuisse, sans ménagement pour la robe qu’il relève au passage. Il attrape la lisière du bas qu’il fait glisser jusque dans la botte. La peau nue, il peut ainsi mieux la caresser et apprécier la douceur de sa peau. Pour ne pas faire de jaloux, le même scénario se répète sur l’autre jambe. Alors qu’Ingrid tente de remettre en place sa robe maintenant remontée jusqu’en haut des cuisses, Vincent lui administre une petite claque sur le dos de la main.
    
    — Pas touche, dit-il.
    
    Les deux autres couples sont un peu dans la même posture. Pour l’un, la femme n’a même plus de jupe. Pour l’autre, c’est le haut qu’elle a perdu, et elle finit son cocktail les seins nus. Pendant ce temps, la main de Vincent a continué l’ascension, et c’est maintenant avec un doigt qu’il flatte son bouton d’amour. Ces caresses font chauffer Ingrid. Là, à ce moment précis, elle aimerait voir un des autres couples entamer un rapport. Comme quoi, il n’y a pas que les hommes qui s’émoustillent avec des films pornos.
    
    Mais Vincent arrête brutalement ses caresses, et se relève, tendant la main à Ingrid :
    
    — Viens, allons dîner maintenant.
    
    Il l’entraîne par la main, laissant le string sur la table, vers un escalier en colimaçon.
    
    À l’étage, l’ambiance de la salle à manger est à l’image de celle du pub, feutrée, mais avec un style mobilier qui tranche. Très intimiste, il y a seulement une dizaine de tables, mais ...
    ... toutes transparentes. Deux autres couples sont déjà attablés. L’une des femmes est entièrement nue, avec un corps de déesse. Ingrid ne peut s’empêcher d’avoir une pointe de jalousie à son égard et la surnomme « pétasse ». Jalousie féminine. La femme de l’autre couple doit certainement connaître le couturier de Mad Max : tout en lanières de cuir, rien de caché, tout de visible. On a l’impression qu’elle s’est battue avec Édouard aux doigts d’argent.
    
    Le serveur écarte une chaise pour Ingrid. D’elle-même, elle relève l’arrière de sa jupe avant de s’asseoir, reste les genoux bien écartés, le plat des mains sur la table.
    
    — Madame est charmante et délicate ce soir, complimente le maître d’hôtel. Monsieur, il n’y a pas de carte, c’est un repas unique.
    — Merci, lui répond Vincent.
    
    Le repas est simple. Six huîtres avec toasts et vin blanc en entrée. Une escalope à la crème avec un rosé pour le plat. Les deux autres couples du pub les ont rejoints : « seins nus » et « à poil » comme les a baptisé Ingrid, sans compter « pétasse » et « Mad Max ». Ils m’ont peut-être surnommée « O » se plaît-elle à penser. De temps en temps, les regards des uns et des autres se croisent, se surprennent à regarder avec insistance, surtout le corps des femmes de la part des hommes.
    
    Un autre personnage de l’établissement a fait son entrée. C’est un homme, grand, un peu grisonnant, avec des faux-airs de Sean Connery. Ingrid l’a de suite remarquée, elle qui est fan de cet acteur. Mais depuis un quart ...
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