La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1603)
Datte: 01/08/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... m’attendais au pire, tout en me questionnant… Comment connaitre plus dégradant et humiliant encore ? Elle m’attrapait le menton, me soulevant le visage. Ces grands yeux noirs pernicieux et diaboliques me foudroyaient dans son regard si intense, il n’y avait que mépris. J’étais incapable de garder plus longtemps mon regard dans le sien, apeuré et craintif, je baisais les paupières.
- Petite salope, tu vas devoir me justifier qu’il n’y a plus rien du tout dans ton minus sac à foutre. Je veux être certaine qu’il ne reste rien d’autres que tes deux minables petites boules de chiot, dans ce ridicule réceptacle pendant entre tes cuisses de bâtard de chien… La Nature a été trop généreuse avec toi, tu ne mérites pas d’avoir des couilles … Alors il est utile que nous nous servions de ce qu’elles peuvent contenir pour nos projets … Et puis, sache que ton père était comme tu es maintenant, quand il a fécondé ta putain de mère… Et pour quel résultat ? Hein ? Eh bien, pour donner naissance à un bâtard comme toi ! Ha, ! ha ! ha !, finit-elle par me dire en éclatant d’un rire sadique…
Mon corps tremblait, des frissons incontrôlables parcouraient mon échine. Une fois encore, elle me laissait dans l’attente, dans l’avanie et le déshonneur, dans l’insulte dégradante parlant de mes parents et de ce qu’ils avaient engendrés, alors qu’elle, cette sadique, jubilait, triomphait en m’anéantissant totalement. Madame Claire se relevait, me contournait, évitait le corps d’Antoine toujours ...
... immobile, tête basse, le regard au sol. Elle se plaçait devant nous, à deux mètres de nous.
- Regardez-moi les putes, hurlait-elle subitement
Difficile de nous soustraire à ce regard sadique, l’humiliante gynéco lentement nous dévisageait l’un et l’autre, sa tête allant de gauche à droite, très lentement. Elle passait sa langue régulièrement sur ses lèvres, telle une hyène affamée devant une proie, deux en l’occurrence ! Elle était odieuse, détestable et méprisable… Jamais je n’avais vécu de telles humiliations. Soudainement elle éclatait de nouveau de rire, un rire quelque peu forcé, cette fois…
- Vous ne ressemblez à rien les putes… vous n’êtes rien d’ailleurs, deux petites choses insignifiantes. Je vous vois apeurés, tremblants, voire effrayés… Pourtant je suis gentille avec vous… Je suis tellement adorable que j’ai l’intention de vous faire plaisir en vous imposant un petit jeu… Oui un petit jeu, disons, … un tantinet pervers !...
Comme à son habitude, Madame Claire se taisait… un long et lourd silence… avant de reprendre !
- Vous allez tous les deux vous branler, là devant moi et ma sœur. Je vous donne dix minutes maxima pour extraire le peu de jus qu’il reste dans vos couilles… Le premier de vous deux qui éjaculera sera récompensé et l’autre puni bien sûr… Si ni l’un, ni l’autre n’a réussi le challenge au bout des dix minutes consenties, alors, Madame Marie, ma charmante sœur se fera un véritable plaisir, elle vous sanctionnera sévèrement. Vous la connaissez ma ...