La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1603)
Datte: 01/08/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1600) -
Chapitre 35 : Totalement possédé -
Evidemment je me trompais, j’évacuais ma semence sans passion, sans plaisir, sans extase, mais avec abondance ...
Antoine et moi étions de nouveau à genoux devant ces deux sœurs jumelles tellement perverses. Elles semblaient toutes deux jouir sadiquement de la situation. Elles nous avaient annihilés, réduits à rien, n’ayant plus aucune volonté, sans plus de personnalité, totalement paralysés de nos facultés mentales et surtout physiques. Nous étions dans un état pitoyable, tels deux misérables esclaves sexuels éreintés et vidés, deux objets dépravés, sous leur vicieux joug ! Chacun notre tour, à six reprises, nous nous étions vus contraints de féconder cette jeune et très belle femelle esclave salope Nala MDE, avec ses cuisses largement écartées et toujours sanglées dans ce fauteuil gynécologique, près de nous. Elle aussi n’en pouvait plus de ces douze rapports sexuels subis en si peu de temps. Pauvre esclave salope Nala MDE ! Sa vulve cramoisie, rouge écarlate, n’était qu’un agglomérat de chair meurtrie, souillée de foutres et collante d’aspect. Une partie de nos spermes ressortait, dégoulinant de ses lèvres intimes, comme un trop-plein débordant d’un siphon bouché. Quant à nous, les mâles-reproducteurs, que nous étions juste pour une fécondation imposée, nos nouilles maintenant flasques et douloureuses reposaient sur nos ...
... couilles taries, plus que vidées et à l’agonie. Madame Marie, non sans sadisme, s’était approchée de moi, du bout de sa cravache, elle soulevait mes burnes, les tapotant tout en se penchant un peu pour les examiner de plus près.
- Es-tu sûr bâtard qu’il n’y a plus de jus là-dedans ?, m’interrogeait-elle odieusement, avec une moquerie mesquine.
Comment pouvais-je en être certain… Que faire ? Que dire ? Heureusement cette perverse cuisinière n’attendait aucune réponse de ma part, elle soulevait maintenant les burnes d’Antoine de la même manière en lui posant la même question et avec un sourire d’une rare de dédain.
- On dirait que ces deux putains ne sont plus en mesure de se vanter, avec leurs nouilles molles. Ces deux catins sont moins fières maintenant que nous avons anéanti leur virilité de petits mâles. Ces deux chiens sont beaucoup moins arrogants et prétentieux dès lors que leurs couilles pendantes sont vides et légères… Leur nouille ne leur servira plus qu’à pisser et pour un bon bout de temps ! … Qu’en penses-tu, ma chère Claire ?
- Oh moi, je ne crois que ce que je vois… Je veux être sûre que leurs burnes soient totalement drainées et asséchées… et je ne vois qu’une solution à ça !
Madame Claire s’était tue. Odieuse dans le propos comme dans le ton employé, elle nous laissait une fois encore, dans l’expectative, dans la crainte d’un affront supplémentaire. Elle passait doucement derrière nous, cravachant gentiment, trop complaisamment nos omoplates. Je ...