1. Naturiste et l’hiver aussi


    Datte: 01/08/2025, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... avec mamelon gonflé et téton bandé.
    
    Plus faits pour les mains des hommes que pour les lèvres des bébés.
    
    Elle est sortie de l’eau après s’être longuement étrillée, de savon pour son corps et de shampooing pour sa touffe et les plis cachés de celle-ci.
    
    Bien séchées nous avons revêtu des teeshirt larges et longs, de mecs, dont mes tiroirs regorgeaient.
    
    Elle n’a pas eu de geste inapproprié, comme on dit aujourd’hui, et est restée bien prude bien sage. Et moi itou.
    
    Sa touffe avait disparu sous le coton blanc et ma fente aussi de mon côté. On est allée à la cuisine rassembler dans un plateau les impédimenta de notre souper.
    
    Elle a accepté mon hospitalité pour la nuit car je lui ai raconté avoir fait l’acquisition d’un king-size histoire de permettre des opportunités de garçons multiples.
    
    J’ai coupé la musique.
    
    Elle a ôté son teeshirt par le bas en dégageant ses épaules l’une après l’autre puis en faisant glisser le tube de coton jusqu’à ses pieds. Là encore je n’ai pu profiter de l’opportunité pour mater à fond tant sa touffe pubienne était épaisse.
    
    J’ai fait de même mais plus conventionnellement en levant les bras entrainant l’étoffe des deux mains.
    
    Et on s’est glissées dans le lit lumière éteinte.
    
    Elle était très douce à serrer dans mes bras et nos jambes se sont à nouveau emmêlées comme dans la baignoire précédemment et j’y ai trouvé tendresse sincère et humide.
    
    Elle a dit, demain c’est weekend on pourra faire grasse matinée.
    
    J’ai dit, ...
    ... on ira bruncher au bistrot d’en bas, j’y ai des copains.
    
    Elle m’a donné ses lèvres et je l’ai embrassée et on est restées chastement enlacées pour partager mutuellement nos chaleurs.
    
    On est arrivées tout doucement à l’heure tendre des confidences de nuit sur oreiller.
    
    J’ai raconté, moi quand je dors avec un garçon ce que j’aime c’est le dur sur ma cuisse sur ma fesse, le dur de garçon quoi…Elle rétorquait, moi le dur je l’aime dans ma main, je descends les peaux, c’est mouillé, je le sens palpiter, je serre…Et moi je pensais et lui murmurais à l’oreille, j’aime quand le dur glisse entre mes cuisses et s’immisce dans mon ventre et pousse jusqu’au fond jusqu’au col. Et le col s’ouvre et c’est bon quand ça gicle et m’éclabousse de chaud nappant tout mon être.
    
    On était bien toutes les deux à se raconter des émois de filles, serrées l’une contre l’autre, avec nos ventres qui dégoulinaient de nos pensées chaleureuses.
    
    Elle m’a dit, je n’ose pas te demander mais j’aimerais tant te bouffer la chatoune. Elle est si fraîche si nette. Permets moi de venir au fond de ton grand lit pourlécher tes peaux plissées et suintantes.
    
    Et sans attendre permission elle était déjà sous la couette accroupie la tête entre mes cuisses écartelées, une main sur chaque genou, ses lèvres en cul de poule autour de mon bitmini à vif. Et puis sa langue comme petit sexe d’homme plongée dans mes intérieurs, aspirant goulûment mes sécrétions avec des petits bruits aquatiques couverts de mes ...