1. Naturiste et l’hiver aussi


    Datte: 01/08/2025, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Jpj, Source: Hds

    On était allées toutes les deux au ciné en sortant du boulot. Voir un film branché.
    
    Je ne la connaissais pas bien car elle bossait dans un autre service. Mais on s’était rapprochées à la cantine. La cantine du boulot c’est bon pour les rapprochements.
    
    Elle était grande et mince et elle me plaisait bien. Je n’avais jusqu’alors jamais eu vraiment d’attirance pour une fille, en tous cas pas d’attirance de sexe. Mais là c’était différent, je cherchais une copine de sorties de balades de fêtes d’été. Et j’ai trouvé cette fille dont j’aimais le bras à ma taille et la joie de vivre qui éclatait contre moi.
    
    Après le ciné j’ai proposé qu’on aille à mon studio finir la soirée à discuter en buvant des fonds de bouteilles de vieux alcools oubliés, un peu éventés et une bouteille entamée de Viognier d’Ardèche. Finir des restes ensemble, comme connivence. Un quart de quiche oublié, des carottes et du céleri avec une sauce anchoïade, et puis des yaourts maison que je fabrique perso avec ma yaourtière électrique connectée.
    
    En entrant on a posé nos godasses sous le perroquet et on était pieds nus sur le parquet point de Hongrie.
    
    Elle a dit je vais ôter mes bas sinon ils seront filés avant fin de soirée.
    
    Elle a posé un pied sur un tabouret et a défait les deux agrafes sur sa cuisse droite sous la robe. Elle a roulé le haut du bas et l’a ainsi descendu sur le mollet puis la cheville. Et elle a dégagé son petit pied de la maille fine pour accrocher le tore à l’une des ...
    ... patères, entre son manteau et ma grosse doudoune. Son pied était menu était joli. Petit pied pour une si grande fille … avec des ongles rouges méticuleusement soignés.
    
    Et ce strip-tease de jambe s’est répété une seconde fois, à l’identique sous mes yeux tout épatés de voir que cette collègue de bureau, que je connaissais à peine, portait de vrais bas et non point des collants comme nous toutes. Et puis n’avait pas pudeur à se montrer pour les ôter.
    
    Elle est venue vers moi, souriante. Et là je n’ai pas pu résister à la prendre par la taille pour découvrir sur ses hanches le porte jarretelles. Mes doigts parcourraient son corps à travers la robe pour deviner les contours de la fine dentelle.
    
    Et elle riait de ma curiosité.
    
    Et je suivais de mes charnus un des rubans jusqu’au bout, jusqu’à l’attache très évidente par son épaisseur, ma main courant sur sa fesse en palpation exploratrice. Sa fesse était dure, musclée.
    
    Et elle riait en se collant contre moi.
    
    Elle a dit, tu découvres là tous mes secrets.
    
    Tu ne le sais pas mais je suis naturiste et l’été je passe mes vacances avec d’autres naturistes dans des villages héliomarins. Nous vivons tous nus en toute liberté.
    
    Alors l’hiver je poursuis et ne porte aucun dessous. Mes seins sont fermes et petits, ils n’ont besoin de rien, même pour le sport.
    
    Et surtout je garde ma cougourle toujours à l’air libre, je ne porte jamais de culotte et suis toujours vêtue de robe ou de jupe plutôt longues. Pour ne jamais risquer ...
«1234»